1. S'organiser


    Datte: 09/08/2017, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail enceinte, humilié(e), Oral 69, fist, pénétratio, fdanus, fouetfesse, fantastiqu,

    ... saint. Il s’arrange pour rester à portée d’oreille pour écouter la conversation qu’elle a avec ses amies, puis vient parler avec elle. Il comprend rapidement le pourquoi de l’antipathie de sa chérie. La donzelle est insupportable. Elle sait tout, a tout vu, est méprisante et médisante, capricieuse aussi. Elle casse du sucre sur le dos de son mari qui a osé lui refuser un tailleur « absolument chou qui ne coûtait que 10 000 euros ! ». Elle parle de sa coiffure « absolument géniale » de Gérard et ses auditrices de s’extasier. Bref une tête à claques. Le problème, durant la soirée, est d’éviter tout contact avec la gent féminine. Heureusement, il commence à avoir une certaine pratique. Comme le raout s’achève, au moment de prendre congé, Bernard remercie chaleureusement l’hôtesse et lui fait un baisemain. Il sort et laisse passer plus de deux heures, jusqu’à ce que les extras partent. Il remonte alors, prétextant avoir oublié son blouson. Caroline se jette quasiment sur lui et l’entraîne vers la chambre. Il rafle au passage deux bouteilles d’eau minérale. Il la baise et l’encule dans toutes les positions et comme intermède se fait sucer aussi. Bref, il ne la ménage pas. La « merveilleuse » coiffure de Gérard disparaît remplacée par un amas de cheveux gluants de foutre. À 10 h, il est toqué à la porte qui s’ouvre dans la foulée sur une bonne portant un plateau avec le petit déjeuner. À la vue du spectacle de sa patronne se faisant sauter en levrette, elle manque de le laisser ...
    ... tomber. Fort poliment, Bernard dit : — Bonjour. Posez le plateau et ayez l’obligeance, s’il vous plaît, d’apporter une grande bouteille d’eau. La jeune femme met quelques secondes avant de poser son fardeau et de répondre : — Oui, Monsieur, tout de suite. Elle tourne les talons et sort. L’air toujours un peu égaré, elle réapparaît une minute plus tard et tend à Bernard presque craintivement ce qu’il avait demandé : — Je vous remercie. Puis s’adressant à Caroline qui ondule de la croupe : — Arrête de remuer ton cul deux secondes, que je puisse boire sans en renverser la moitié. Il ponctue ses paroles d’une claque sur le fessier tumultueux. Il se tourne ensuite de nouveau vers la bonne qui contemple la scène, abasourdie : — C’est bien, vous pouvez disposer. Sur le coup de midi, il se fait sucer une dernière fois en disant : — Ce n’est pas que je m’ennuie avec une chaudasse comme toi, mais les meilleures choses ont une fin et il me faut bien rentrer à la maison un jour. Quand il sort de la douche, elle dort profondément. Les douze heures de baise l’ont complètement vidée pour ce qui concerne l’énergie, car pour le foutre elle en plutôt remplie, tant le con et le cul que l’estomac. D’ailleurs du foutre, il y en a partout, le lit en est inondé de même que les descentes de lit, même les tables de nuit ont été éclaboussées. Quant à Caroline, elle en est couverte de la pointe des cheveux quasi aux pieds. En traversant la pièce, Bernard ne résiste pas et prend quelques photos et même une ...
«12...678...34»