S'organiser
Datte: 09/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
enceinte,
humilié(e),
Oral
69,
fist,
pénétratio,
fdanus,
fouetfesse,
fantastiqu,
... l’accueille d’un baiser : — Je vois que tu t’es bien occupé d’elle. Combien diable de temps es-tu resté avec elle ?— Une quinzaine d’heures.— Eh bé ! Et elle a tenu tout ce temps-là ?— Sans faiblir. Même la venue de sa bonne ne l’a pas arrêtée. Bien qu’elle se soit juré de ne pas demander de précisions sur ce qui se passait quand son chéri devait se soulager avec une autre femme, elle ne peut s’empêcher de demander : — Raconte. Bernard, après un moment d’hésitation, obtempère et termine en montrant les prises de vue de l’endormie. Marion pouffe et conclut : — Piou ! Tu l’as bien arrangée. Ça va lui faire des souvenirs. Malgré cette nuit mémorable, Bernard est inquiet, car le nombre des dames avec lesquelles Marion et lui peuvent avoir un contentieux est limité. Qu’adviendra-t-il quand la liste sera épuisée ? La semaine suivante, il se rend sur le site du temple. Au passage, ayant appris que son époux s’est rendu à un salon dans une autre région, il rend visite à la fermière, une jeune femme bien charpentée aux cheveux noirs et qui ne manque pas d’un charme rustique certain. Il s’occupe d’elle depuis seulement trois heures quand, comme pour son ex, il sent le retour du mari. Il quitte donc la dame. Dans le train pour Paris, il se demande si elle aura suffisamment retrouvé ses esprits pour se rendre présentable quand son mari arrivera. Il préférerait malgré tout qu’il n’y ait pas de drame. Il est exaucé. En effet, quand elle revient à la réalité, elle a la présence d’esprit de ...
... mettre les affaires dans la machine avant même de se laver elle-même. Comme toutes les autres, elle se demande ce qui a bien pu lui prendre de se jeter dans les bras de Lemua, surtout sachant le retour de son mari proche. Malgré cela elle ne regrette pas cet intermède, car ce fut vraiment bon. Il est doué le bonhomme, à le voir elle ne s’en doutait pas. Si l’occasion se représentait… elle ne dirait pas non. Le mardi suivant, c’est le branle-bas de combat aux archives : la ministre de la Culture vient en visite. C’est probablement pour parler des décisions concernant l’institution, que le personnel a apprises par la presse. En effet, la grogne règne, tant parmi les personnels que parmi les utilisateurs. Non seulement les mesures apparaissent pour le moins contestables tant du point de vue humain que technique, mais en plus, elles ont étés prises sans concertation aucune ou alors seulement avec la direction qui n’en a soufflé mot. Elle va probablement expliquer qu’il n’y a rien de décidé, que ce qui a fuité dans la presse ce sont simplement des pistes. Bref, le discours habituel. De grands noms ont pris la plume ou la parole pour faire part de leur réprobation, ou, dans le meilleur des cas, de leur étonnement. Cela a dû motiver le déplacement. Comme c’était prévisible, la ministre s’emploie à désamorcer la bombe qu’elle a elle-même allumée avec des déclarations prématurées. Bernard n’attend pas la fin de la réunion pour discrètement s’éclipser. Il en a assez entendu, il aurait ...