Le Boss - Chapitre 2
Datte: 14/12/2018,
Catégories:
ffh,
hplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
confession,
... ça, mais je ne l’ai jamais laissé. Alors lui dire non à lui pour vous dire oui, ça serait pas trop correct…— Considérez la chose autrement. Avec un peu d’expérience, vous aurez une belle surprise à lui faire. Il ne peut qu’en être enchanté. Je suis étonnée que Varmois lui porte autant de sollicitude. Avec moi, il a été foutrement plus direct ! Est-ce mon attitude, exsudant le mépris et l’indifférence, qui a déterminé le type de relation qui s’est instaurée entre nous ? — Alors, que faisons-nous Lucie ?— Bin si vous dites que c’est pas sale… Elle m’exaspère au plus haut point, je ne peux plus me contenir. Je me relève du fauteuil sur lequel j’étais toujours à quatre pattes, je rabaisse ma jupe d’un geste sec et me plante face à elle. Mon visage est de marbre, face au sien. Elle cultive une humilité candide mais ses émotions transparaissent. Ses joues sont rouges de désir et d’excitation, son regard ne trompe pas. Elle biche à jouer les candides et ce crétin de Varmois s’y laisse prendre. Elle me fait honte. Comment un être humain peut-il se laisser aller à une telle démonstration de ses émotions ? N’a-t-elle donc aucun respect d’elle-même ? Avant que j’aie pu y réfléchir, le coup part. Une grande claque sur la joue droite. Sa peau porte la marque de mes doigts. Varmois contrarié attrape mon bras et le tord pour m’amener face à lui. — Mademoiselle Lomont vient de commettre une faute grave. Si vous désirez déposer une plainte, je vous soutiendrai, Lucie. Léa, je désapprouve ...
... totalement ce comportement. Je ne supporterai aucune violence ici. Lucie, vous pouvez vous retirer. La petite secrétaire caresse doucement sa joue avec un sourire qui ne me dit rien de bon. — J’ai envie de rester, Monsieur Varmois. Mais elle fera ce que je lui dirai ?— Après ce geste déplacé, nul doute que mademoiselle Lomont aura à cœur de se faire pardonner.— Alors je veux qu’elle me prépare. Et me voilà de nouveau soumise, à cause de ma connerie et de mon impulsivité. La petite secrétaire nue jusqu’à la taille, son jean aux genoux, me tend ses fesses comme Marie-Antoinette attendant une servante. Je reste immobile, inflexible. Varmois me fait un signe qui ne prête pas à confusion. Il a pris son sexe toujours tendu à pleine main et se branle doucement. La situation semble l’exciter assez. — C’est… pour mon fiancé que je le fais.— Bien sûr, Mademoiselle Eckhart, nous n’en doutons pas. Cachant mon exaspération, je pousse délicatement sur le dos de la petite blonde et l’amène à écraser son buste sur le bureau, les jambes droites, le cul en l’air. Je baisse son jean jusqu’aux chevilles afin de pouvoir un peu lui écarter les jambes. Elle a un très joli postérieur, d’un blanc parfait. J’écarte l’élastique du string pour apercevoir une rosette claire et une remontée de légers poils blonds autour des grandes lèvres hermétiquement closes, à moitié tenues par le tissu si fin qu’il n’arrête pas le regard. Lucie Ekhart semble ne pas s’épiler entièrement. On peut le comprendre, quelques ...