1. Le Boss - Chapitre 2


    Datte: 14/12/2018, Catégories: ffh, hplusag, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, hdomine, entreseins, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, confession,

    ... qu’il me pénètre, qu’il me fasse jouir, mais je me l’interdis. Il le sait et en joue. — Il faut humecter toute la longueur. Avec une grande douceur il entre dans mon con imberbe et lentement vient s’y ficher jusqu’à la garde. C’est la première fois qu’une simple pénétration me fait un tel effet. Mes jambes tremblent un peu ; je maintiens les mâchoires serrées. Je ne lui donnerai pas la satisfaction d’avoir un orgasme devant lui. Il plonge son regard dans le mien. — Vous êtes inhabituellement troublée, Léa. Se pourrait-il que vous puissiez trouver quelque ravissement dans cet exercice ? Je suis incapable de répondre. Il ressort aussi lentement qu’il est entré et fait mine de récupérer les dernières gouttes traînant sur mes lèvres, remontant jusqu’à tapoter de son gland mon clitoris sur lequel il insiste. C’est trop. La vague de l’orgasme le plus puissant que j’aie connu jusqu’ici déferle sur moi, mes jambes tremblent, tout mon corps est secoué. Je mords mes lèvres et parviens de justesse à garder le silence. Varmois n’est pas dupe, il arbore un haïssable sourire de vainqueur et replonge sa queue dans le rectum de la secrétaire. Je veux qu’il arrête avec cette fille ! Après quelques secondes de concentration, je parviens à contrôler ma voix. — Le compte rendu de Singapour a dû arriver, Monsieur. Il faut répondre avant la fermeture de la bourse de Tokyo si on ne veut pas d’incidence sur le marché.— Qu’en dites-vous, Lucie ?— Je… je ne sais pas, Monsieur. Je… j’étais ...
    ... distraite. L’imbécile ponctue chaque mot de petits soupirs d’aise. Elle n’a rien pu remarquer de ce qui s’est passé au-dessus d’elle. — Ah, tiens ? Et pourquoi ?— Ce que vous me faites, Monsieur.— Et que vous fais-je ? Dites-le ?— Vous… vous… me prenez, Monsieur.— Et de quelle manière ?— Par derrière, Monsieur. Mais ce n’est pas bien d’en parler… Ohhh…— Donc, je vous prends par derrière. Il y a un mot pour ça. Que peut-on dire que je fais, Lucie ?— Vous me… sodomisez, Monsieur.— Ce n’est pas ce que je veux entendre, vous le savez. Il termine chaque phrase sur un coup de reins et s’adresse à la pauvre dinde avec des intonations bienveillantes. — Vous m’enculez, Monsieur !— Bien, dites-le encore.— Vous m’enculez ! Vous m’enculez !— Alors, trouvez-vous ça désagréable ?— Oh non Monsieur.— Ou sale peut-être ?— Je ne… sais pas, Monsieur. Mais c’est pour mon fiancé, alors hein, ohhh…— Vous êtes heureuse d’être enculée ?— Je… oui Monsieur.— Allons, dites-le !— J’aime être enculée, Monsieur !— C’est donc agréable, ma queue dans votre petit trou !— C’est… pas comme d’habitude mais je… je ne sais pas comment dire… c’est fort !— Des regrets, Lucie ?— Oh non Monsieur ! Et en effet, Lucie Ekhart flotte dans un océan de plaisir. L’imbécile va jouir, le sexe de son patron fiché dans son cul. Elle respire de plus en plus rapidement et s’effondre comme un tas de chair qui s’abandonne bruyamment. — Oh oui ! Ouiiiii ! Je descends du bureau. Je n’éprouve que de la commisération pour cette pauvre fille ...