L'artefact
Datte: 15/12/2018,
Catégories:
fh,
couleurs,
grossexe,
forêt,
amour,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
aventure,
fantastiqu,
merveilleu,
sorcelleri,
fantastiq,
merveille,
... prédateur. S’éveillant doucement d’une agréable léthargie, l’elfe tourna son visage vers celui qui l’avait étonnée tant par sa douceur que par son savoir-faire amoureux. Elle s’apprêtait à le remercier pour ses instants quand un gémissement du worg l’alarma : Rerdan avait le regard voilé, le souffle court et les veines de son cou et de son torse prenaient une inquiétante teinte noire, plus prononcée à mesure qu’elles s’approchaient de l’épaule où était restée fichée la pointe de la flèche de l’elfe noir. — Que… Du poison ! J’avais raison… Mais pourquoi avoir attendu ?— Métabolisme plus lent. Ourajii plus important. Je… pensais… avoir le temps… Mais….maintenant… tu sais…, répondit l’orc, un sourire forcé au coin des lèvres.— Allonge-toi. Et si tu meurs, je te tue ! En disant cela, l’elfe sentait des larmes lui échapper et couler sur ses joues. Sans bien comprendre ce qui lui arrivait, elle acceptait le sentiment qui la dominait : elle était liée par la vie et par la mort à l’orc et, instinctivement, elle sentait qu’il était quelque part écrit que leurs routes devaient se rejoindre. C’était une révélation : une conjonction cosmique avait eu lieu, qui les changerait à jamais… si Rerdan vivait. Prenant appui de la main gauche sur le torse de l’orc, elle laissa sa magie s’écouler contre la peau recouverte de tatouages, cherchant à apaiser la douleur. Puis, se saisissant de l’un des couteaux du guerrier, elle incisa vivement l’épaule pour élargir la plaie provoquée par le ...
... projectile. S’aidant de la pointe de la lame, elle dégagea la tête métallique empoisonnée. Tendant son esprit vers le foyer de l’infection, elle sentit qu’un puissant poison magique était à l’œuvre. D’abord ralenti par la lenteur du métabolisme orc, le processus infectieux avait dû être accéléré par l’excitation du mâle devant une femme prenant son plaisir. Moins hésitante qu’avec la monture du guerrier, Hélyna s’assit sur les cuisses de l’orc et commença à caresser son abdomen, d’abord de ses mains, puis de sa longue chevelure acajou, qu’elle promenait du cou au pubis, avant de remonter et de recommencer. Baissant un peu plus la tête, elle se mit à frôler du bout des lèvres le ventre du mâle, posant des baisers humides çà et là tout en s’imprégnant de l’odeur musquée du blessé. Continuant d’agacer par petits coups de langue vifs et taquins la poitrine de l’orc, elle s’avisa qu’il avait de larges aréoles traversées de petites pointes d’ivoire, avec lesquelles elle se mit à jouer. Quand elle fut certaine qu’elle avait toute l’attention du guerrier, elle prit la lourde verge et entreprit de la masser, humectant parfois sa main de sa salive afin de permettre à la peau du prépuce de coulisser plus facilement. Sentant l’organe durcir et se redresser par à-coups jusqu’à s’exposer dans toute sa majesté, elle écarquilla les yeux en prenant la mesure de l’imposant phallus. S’arrachant à cette vision, elle reporta son attention sur le blessé et, pour examiner le corps de ce dernier, projeta son ...