1. Maman l'espace d'un instant (20)


    Datte: 15/12/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Un vendredi soir j’arrivais chez mes parents, maman avait concocté un bon repas et avait préparé une table somptueusement décorée. Elle était superbe avec une belle robe violette largement échancrée laissant apparaître ses formes avantageuses, un maquillage léger mais très classe. Je pense à mon avis qu’elle voulait faire son petit effet. Vers 19H le téléphone sonne, c’était mon père, il nous annonçait qu’il ne serait pas là ce soir mais seulement demain dans la matinée à cause du chantier qui avait pris pas mal de retard pour son équipe à cause des intempéries, notamment la pluie et les orages sans oublier quelques éclairs. Immédiatement j’ai vu le visage de ma mère changer et presque passer à une certaine forme de joie communicative. — Tu sais maman je te trouve de plus en plus épanouie et heureuse — Merci mon amour mais je te laisse, serre-toi ce que tu veux je vais lire un peu Je ne savais que dire, je l’ai laissée s’isoler et me suis servi un petit apéritif, je ne voulais pas la déranger. J’ai poursuivi mon début de soirée ainsi seul dans le salon, mais je commençais à trouver le temps long. Une trentaine de minutes plus tard je vois la porte du salon s’ouvrir, ma mère pénètre et repousse la porte d’un coup sec, puis elle s’approche de moi et se pose à mes côtés sur le canapé sans dire un mot. Elle reste ainsi quelques secondes, puis est venue se coller contre mon épaule, et poser son bras sur mon bas ventre, maman était totalement nue. — Mon chéri tu ne t’ennuies pas ...
    ... au moins ? — Non pas du tout S’en sont suivies quelques minutes interminables sans le moindre bruit, et d’un coup ma mère me fixa droit dans les yeux. — Fais-moi l’amour là maintenant, j’en ai trop envie et trop besoin Je me suis tourné face à elle et je l’ai prise dans mes bras. Nous avons commencé à nous embrasser langoureusement avec de longues caresses. Au bout d’un moment, je me suis positionné entre ces cuisses, j’ai alors présenté ma queue déjà bien raide à l’entrée de sa vulve, je l’ai lentement et tendrement pénétrée. — Vas-y mon amour, baise-moi Nous avons tous les deux entamé une lente et longue chevauchée jusqu’à ce que nos deux corps et nos esprits ne fassent plus qu’un, chaque mouvement de l’un provoquait une vague de plaisir chez l’autre. Son vagin commençait à se resserrer sur ma verge gonflée à bloc, finalement une immense contraction emmena mon épanchement interminable et épais dans son intimité. Durant plusieurs longues minutes, nos deux corps sont restés ainsi baignant dans nos jus odorants respectifs. Une chose naturelle venait de se passer, ce n’était que de l’amour réel et sincère. Aucun de nous deux ne voulait que ce moment s’arrête et comme il restait quelque raideur à mon sexe, elle ondula son corps de gauche à droite ce qui avait pour action de masser sa généreuse poitrine contre mon torse. Ses ondulations eurent rapidement le résultat escompté et ma queue reprit bonne vigueur. Nous tombions ainsi par terre tous les deux. — Mon petit amour, je crois ...
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