LE JOLI MOI DE MAI. EPILOGUE
Datte: 15/12/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... belle. De plus, la nature faisant bien les choses, elle est plus légère et je la sens à peine peser sur moi quand je la pénètre en écartant ses fesses. Est-ce le froid ? Toujours est-il que, sans pour autant débander, je n’arrive pas à jouir. Par contre, les jambes repliées autour de ma taille, le visage niché dans mon cou, Christelle se laisse emporter par deux vagues successives de plaisir. Transis, je finis par lui demander grâce et nous rejoignons nos nouveaux amis eux aussi bien occupés. Nous les laissons finir leur affaire, en nous séchant, nus au soleil. De toute façon, la nature nous rappelle à ses lois. La mer redescend et nous reprenons le chemin du port. Les filles sont en short mais pour nous plaire sont restées seins nus. Sous les coups de roulis et de tangage, leurs poitrines m’offrent un ballet plein de sensualité, le soleil les faisant dorer, quand les remous les balancent. Le port, la cale, la maison de Roger et Annick. Ce soir, Patrice et Karine nous invitent. J’ai hâte de faire à mon tour l’amour sur la table du salon et de profiter encore des charmes de ces dames avec la complicité de Patrice. Nous rentrons à la maison pour prendre une douche et nous changer avant de rejoindre nos nouveaux amants. Je soupçonne les filles de s’être concertées car si j’ai été étonnée de la tenue choisie par Christelle, j’ai vite remis les choses en place quand j’ai découvert Karine étendue lascive dans le salon. Ma femme a sorti le grand jeu, ce soir. Robe noire classique ...
... à bretelles, avec un beau décolleté et s’ouvrant largement sur son dos. Pas de sous-vêtements hormis les incontournables Dim up qui rehaussent le galbe de ses longues jambes fuselées. Ses seins jouent libres sous le tissu léger et je meurs déjà d’envie de me nicher entre eux pour les caresser, les faire frémir sous mes doigts. Notre hôtesse n’est pas en reste. Elle a déployé des trésors d’inventivité pour nous offrir le plus ravissant des spectacles. Sa garde-robe de vacances n’étant pas prévue pour notre soirée libertine, il lui a fallu ruser. Elle pose dans le canapé simplement vêtue d’une des chemises de son mari, la taille soulignée par une fine ceinture. Suffisamment ouverte sur sa poitrine, elle ne porte semble-t-il rien d’autre sur la peau. Les bras chargés de bouteilles de vin, Nous sommes accueillis chaleureusement par Patrice qui nous propose de prendre l’apéritif sur le balcon. La petite table basse et les fauteuils nous sont familiers mais la vue que j’ai sur les jambes croisées de Karine me change de celles d’Annick, la maîtresse de maison habituelle. Deux bouteilles plus tard, nous rentrons à l’intérieur pour passer à table. Nous dégustons un bar péché par Patrice la veille. Servi à bonne température Le Puligny-Montrachet que j’ai dégotté fait merveille. Mais nous sommes aussi là pour baiser et je ne suis pas le seul à décliner la proposition d’un dessert pour passer à des réjouissances plus physiques. Me levant, je propose à la cantonade : - « Et si on faisait ...