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LE JOLI MOI DE MAI. EPILOGUE
Datte: 15/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe
... table après quelques coups de bites qui la font glisser loin de lui. Guettant elle aussi le plaisir de cet homme, elle ferme à nouveau ses jambes autour de la taille épaisse de Patrice qui comme s’il n’attendait que ça, jouit dans de grands mouvements saccadés, de plus en plus espacés. Le cri de Christelle a disparu sous celui de son amant mais son orgasme n’en est pas moins fort. Elle bascule sa tête vers moi, me trouve du regard et me lance un baiser pendant que Patrice s’écroule sur elle, épuisé. Je les laisse reprendre leurs esprits et retrouve Karine elle aussi spectatrice fascinée de cette partie de cul échevelée que vient de lui offrir son mari et ma femme. J’ouvre un à un les boutons de sa chemise et m’empare de ses seins que je caresse tout doucement. Ma langue se joint à mes doigts et je pince ces bouts de chair sensible tout en les portant à ma bouche pour les mordiller et les caresser. Réceptive Karine commence à onduler du bassin et cette danse contre mon bas ventre me dit clairement qu’elle en veut plus maintenant. Je fais tomber mon pantalon de toile à mes pieds pour lui présenter mon sexe raidi d’excitation. Une capote plus tard, quand nous nous rapprochons à nouveau, je trouve ma place comme par enchantement entre ses cuisses qu’elle écarte doucement. Bandant comme un âne, je reste à l’orée de son trésor, quelques secondes. - « Tu veux que je te prenne comme ça ? » - « Non, sur la table... » C’est elle qui me prend par la main et s’assoit les jambes ...
... ouvertes en grand. Je m’y glisse d’une traite et commence mon va et vient. Appuyée sur les coudes, elle ne perd pas une miette du spectacle de mon sexe qui entre et sort, mécanique. Comme hypnotisée, elle me regarde la posséder jusqu’à ce qu’elle se laisse emporter par un premier orgasme. Je profite de son plaisir pour plonger de nouveau ma bouche sur sa chatte et fais courir sur son clitoris ma langue le plus vite possible. Je lui arrache une autre jouissance puis la reprends en augmentant la cadence de mes coups de reins. Je perds très vite moi-même tout contrôle et quand je sens le plaisir monter en moi, je m’arrête de bouger. Je sens mon fluide jaillir au fond d’elle dans de longs traits que j’accompagne en lui disant dans un souffle : - « Grmpfff !... » Nous récupérons de nos émotions en finissant une bouteille sur la terrasse. Nous parlons de nos récentes aventures entre Angers, Bordeaux ou la Baule, de notre goût nouveau pour les situations érotiques. Nous les épatons en leur racontant le sketch de Louise dans le tram et ses exploits au marché, puis les nôtres au cinéma. Ils découvrent avec nous tout un monde qu’ils ignoraient mais qui les tentait. Témoins de leurs ébats hier soir, nous n’avons fait que leur révéler leur vraie nature : épicuriens, épris de sexe et de bonnes choses. Il commence à faire frais et nous rentrons. La nuit n’en est pas pour autant terminée. Karine et Christelle se sont rapprochées et leur complicité nouvelle commence à prendre des tours de plus en ...