1. Ma belle-mère


    Datte: 15/12/2018, Catégories: fh, fagée, alliance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fsodo,

    Je m’appelle Yvan, et cette histoire est arrivée il y a bien longtemps maintenant. J’étais marié et très heureux. Mes beaux-parents étaient sympas et j’avais de bonnes relations avec eux. Ma belle-mère, que j’appellerai ici Lucette, était une femme assez grande et un peu corpulente. Elle n’était pas le genre de femme que j’aimais, mais elle avait un visage plein de douceur et des yeux que je trouvais rieurs et coquins. Nous habitions à la campagne dans un petit village. Lucette n’était pas spécialement attirante, ni par son physique, ni par sa manière de s’habiller, mais elle générait un trouble en moi que je ne m’expliquais pas. Il est vrai qu’à cette époque je fantasmais souvent sur les femmes qu’on appelle mûres et je regardais souvent des pornos car ma femme n’était pas très portée sur le sexe. Nous allions chez ma belle-mère environ un dimanche sur deux pour le repas de midi, et nous passions quelques heures à bavarder. Tout a changé un dimanche d’été où je me suis rendu chez ma belle-mère pour changer la bouteille de gaz car mon beau-père était parti pour la journée. Elle avait appelé à la maison tôt ce matin-là en demandant si je pouvais venir assez vite car elle était en panne de gaz. Ma femme était également partie pour la journée avec son équipe de volley-ball. Je me suis donc rapidement douché et habillé avec un short et un tee-shirt. Il était environ 9 heures lorsque je sonnai à la porte. — Ah, te voilà ! Il faut que je tombe en panne le jour où je suis seule.— ...
    ... Bonjour Lucette, comment allez-vous ?— Bien, je te remercie, Yvan. Elle me fait la bise, une bise dans le coin de mes lèvres ; enfin, c’est ce que j’ai ressenti. Elle était encore en nuisette sur laquelle elle avait passé un peignoir. Même si rien ne dépassait, elle me faisait de l’effet et je commençais à fantasmer, comme à mon habitude. — La bouteille de gaz pleine est à la cave.— OK, je vais la chercher et je la change ; je n’en ai pas pour longtemps. Je descends à la cave, je prends la bouteille de gaz et je remonte. Je m’installe devant le placard sous l’évier. C’est souvent là qu’on met les bouteilles de gaz pour alimenter les cuisinières. Je sors tout ce qui gêne et commence à dévisser le détendeur. Plus facile à dire qu’à faire car il semble qu’il est coincé. Au bout de longues minutes, Lucette vient voir où j’en suis. — Alors, Yvan, ça avance comme tu veux ? Elle est juste devant moi, elle est en nuisette, une nuisette qui lui arrive juste au-dessus du genou. Elle est devant moi – enfin, façon de parler car je suis assis par terre et elle debout – à contre-jour, ce qui me permet de voir ses jambes et ce qu’il me semble être une culotte. — Je crois bien que j’ai parlé trop vite : le détendeur est coincé et je n’arrive pas à le dévisser. Peut-être qu’avec la clef à molette je vais y arriver.— J’ai confiance, tu es costaud. J’essaie avec la clef mais rien n’y fait : le beau-père a dû monter ça de travers ; il n’a jamais été le meilleur bricoleur du monde. — Alors, verdict ...
«1234...»