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Datte: 16/12/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... lesquels je suis tombé, je comprend pourquoi... Mais bon, après la petite douche de tout à l'heure, nous sommes presque devenus des intimes tous les deux." Puis il se replonge dans sa lecture, qu'il ponctue de temps à autre par un rire, un oh moqueur, ou simplement par un regard appuyé vers Marjorie. Pour une fois, la main de son père, qui vient de se poser sur sa jambe, ne lui apporte aucun réconfort. Jamais elle n'a eu autant envie de disparaitre. Après quelques minutes de lecture, l'Homme relève le visage pour s'adresser à sa jeune victime. "Tu fais de la danse depuis longtemps?" "Depuis mes 5 ans." "Et tu continues encore?" "Oui. De la danse classique, et un peu de modern jazz." "Hmm... Je sais pas si c'est vrai, mais j'ai entendu dire que chez les filles qui font de la danse, c'est comme celles qui font l'équitation: leur berlingot cède avant l'heure... C'est vrai?" "Je ne sais pas. Ça doit dépendre des filles..." répond timidement Marjorie. "Mouais... En tout cas, quand je te vois, et quand je lis ce que tu écris, ça me donne envie d'aller vérifier par moi même." La jeune fille perçoit la crispation qui vient de parcourir son père. Elle cherche discrètement à le calmer, de peur que la situation dégénère. "Dis moi Meyer, tu savais que le petit abricot de ta gamine était toujours intacte? C'est pas banal pour une donzelle de son âge. Mais en lisant son journal, on découvre qu'elle n'est pas si innocente que ça ta gamine! Il semblerait que tout à l'heure je n'ai pas été ...
... le premier homme qu'elle ait vu dans toute sa vigueur, et que les plaisirs solitaires ne lui soient pas inconnus..." "Ça ne regarde qu'elle." rétorque le père de Marjorie. Mais sans se soucier de ce qu'il vient d'entendre, l'Homme feuillette le carnet qu'il a entre les mains, cherchant apparemment un passage précis. "Ah là! Ce passage, j'adore... Tiens ma jolie, lis nous le à voix haute..." La jeune fille saisit le carnet à la page en question, et commence à lire en silence. Un sentiment proche de la panique prend possession de tout son être. Elle jette un regard implorant à son bourreau. Mais celui ci semble se délecter de la situation. "Allez, allez ma jolie! Je suis sûr que ton «Papou» va se régaler en découvrant cet aspect là de sa petite fille chérie." Marjorie se tourne vers son père et s'excuse avant de commencer la lecture à voix haute. "Vendredi soir, le sommeil n'a pas voulu de moi. Je me suis tournée et retournée sans cesse dans mon lit. Et, comme cela s'est si souvent produit, je me suis mise à penser à son sexe. Je m'imaginai le prendre entre mes mains. Je l'imaginai en train de grandir grâce à mes caresses, ou mieux encore: grâce à mes baisers. Cela fait si longtemps que j'ai envie de jouer avec. Il n'aurait plus besoin de le faire tout seul, en cachette. Il m'aurait moi. Mes mains. Ma bouche. Et s'il le demandait, il m'aurait toute entière. Pour notre plus grand plaisir à tous les deux... Penser au sexe de Papou, le revoir en mémoire, me rappeler les fois où je ...