1. Une conversation surprise, et tout change


    Datte: 16/12/2018, Catégories: fh, fhh, couplus, cocus, inconnu, vacances, forêt, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, Partouze / Groupe confession, cocucont,

    ... mais leurs voix me paraissent lointaines. Mon subconscient retient cependant quelques compliments de Laurent et du chauffeur. Je récupère doucement. Laurent est en train d’ouvrir la porte de notre maison et le taxi manœuvre pour faire demi-tour. Quelle heureuse coïncidence, ce chauffeur black ! Quelle journée ! Il s’en est passé des choses depuis hier soir… Si on m’avait dit que je deviendrais, sous la direction de mon mari, une salope accomplie… Des hommes ont joui quatre fois, et moi je ne compte plus les orgasmes. Ma chatte m’en rappelle les souvenirs. Sacré Laurent ! Je tape à la vitre du conducteur alors qu’il va partir ; il l’abaisse. Son sourire tout de blancheur laisse voir sa langue rose. — Oui, Madame ?— Vous avez bien dit tout à l’heure que les femmes – mais aussi certains hommes – vous demandaient de vous arrêter. Je peux vous demander pourquoi ?— Certaines femmes aiment bien offrir un petit coup à leur mari. Ou c’est directement l’homme qui me le demande.— Et vous répondez à leur demande ?— Madame… (il avance son visage vers moi, et dans un murmure continue) un petit cul d’homme, bien étroit, de belles fesses toutes blanches… Qui refuserait ? Pas moi, en tout cas. Il sourit de sa confidence. Décidément, le contraste de sa peau noire, ses dents d’une blancheur immaculée et sa langue si rose me troublent. Elle paraît si longue, cette langue, que je frémis d’en imaginer le chemin. Mais je me ressaisis. — Et cela vous arrive de faire des courses à domicile ? Je veux ...
    ... dire offrir vos services chez les gens ?— Cela dépend.— C’est pour mon mari. J’aimerais bien lui faire une surprise.— Si vous participez, alors c’est oui.— Et la course revient cher ?— Juste un aller-retour de votre maison à chez moi. 20 km au plus. Tenez, prenez ma carte. La voiture démarre. Les feux arrière disparaissent au premier virage. Je reste songeuse. Je vois déjà le beau mandrin noir entre mes lèvres. Je vois d’autres lèvres venir me rejoindre. Je vois une main dérouler une capote et l’enduire de liquide gras. Mais je vois aussi un petit trou sombre, serré, que ma langue ou peut-être une autre, longue et rose, vient apprivoiser. Je vois aussi des doigts qui entrouvrent la corolle jusqu’à ce qu’elle bâille. Je vois le même liquide gras largement étalé et qui coule jusque sur les bourses. Mais aussi je vois ma main guider le gland étouffé dans le latex pour le placer à la porte de derrière. Le cul s’ouvre sous la poussée. J’entends distinctement un « Oh » que j’espère de plaisir et non pas de douleur. Maintenant il progresse. Lentement, lentement. Je retiens l’enculeur qui voudrait déjà s’engloutir dans le petit cul de mon mari. Le cul vierge de Laurent, uniquement visité jusqu’à maintenant par l’index de sa femme en de rares occasions. Il avance. Il avance. Je m’entends dire à Laurent, que le mandrin envahit petit à petit : — Voilà une belle « avancée », mon chéri. Une nouvelle. Une inconnue. Tu aimes ?— Lise ! Qu’est-ce que tu fais ? Tu rêvasses. Rentrons, je suis ...