1. Appât pas à pas


    Datte: 17/12/2018, Catégories: fhhh, inconnu, telnet, fsoumise, humilié(e), noculotte, vidéox, pénétratio, yeuxbandés, policier, tarifé, fsoumisah,

    ... Gendarmeries traditionnelles, l’unité fonctionnait 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24, car les délinquants qu’ils pourchassaient ne connaissaient pas d’horaire. Mais le week-end, l’effectif était restreint, tous ceux qui étaient en service avaient leur utilité, et ne pouvaient pas être facilement réassignés. Désigner au dernier moment du personnel pour un travail du dimanche ne serait pas très populaire. — Il n’y aura que Klein, on n’a pas besoin d’une armée. Lazare est encore là, on aura besoin de lui, il suffit de lui dire, il est toujours volontaire pour aller sur le terrain. Il en faut un ou deux autres…— Il n’y aura que Klein, et une femme officier de Gendarmerie dont il faut assurer la sécurité, avec autour un nombre indéterminé de camionneurs jamais coopératifs avec la maréchaussée, et éventuellement des professionnelles pas ravies de la concurrence… parce que Klein est vraiment un branleur ! S’il croit qu’elles attendent la nuit tombée… Après réflexion, le Capitaine trancha. — Bon, il y aura moi, Lazare, vous Marc, évidemment ; et je me débrouille pour en trouver d’autres. Ceci dit, bien joué, beau travail d’équipe, efficace. Vous avez atteint le premier objectif en un temps record, c’est parfait. Antonietti, reposez-vous un peu, je sais que vous n’avez pas eu de répit cette semaine, mais faites en sorte d’être prête pour dimanche, Marc vous aidera d’ici là. On se retrouvera ici à quatorze heures. Bien entendu, surveillez les messages de Klein, prévenez-moi ...
    ... immédiatement si les plans changent. Quatorze heures, cela laissait très peu de temps pour le briefing avant l’action. Marc soupçonnait que cela permettait au capitaine de limiter au strict minimum les heures de service à affecter un dimanche, tout en permettant accessoirement de réduire le risque de fuite sur l’opération. Marc et Mathilde quittèrent le bureau, retrouvant Fanny qui attendait toujours patiemment son pantalon. Après l’échange de vêtements, Mathilde soulagea Marc d’un poids en faisant elle-même une demande qu’il hésitait à formuler. — Le capitaine a raison, je ne suis pas sûre d’être capable de jouer ce rôle face à face avec Klein. Ce que je dois faire, on ne l’apprend pas dans les formations de la Gendarmerie… Je crois qu’une sorte de répétition serait utile, vous pensez que c’est possible ? En bonne militaire, Mathilde croyait fermement en deux choses, la discipline et l’entraînement. Autant que possible, mieux valait affronter l’ennemi avec une épée émoulue. En l’occurrence, c’était une excellente chose. — C’est une bonne idée, je vais y réfléchir. Voulez-vous me rejoindre ici demain après-midi ? La première étape sera de vous habiller comme l’a demandé Klein.— D’accord… demain matin je vais me reposer, faire le vide et m’occuper de ma famille. Ensuite je vais faire des courses, je peux vous rejoindre vers quinze heures. Sur ce, elle quitta les lieux. Marc avait encore une chose à faire, importante. Il retourna à son donjon, s’assit devant son ordinateur. Rapidement, il ...
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