1. Même pas en rêve...


    Datte: 17/12/2018, Catégories: ffh, fhhh, fbi, inconnu, campagne, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, uro, totalsexe,

    ... C’est totalement has-been comme concept, précise Annabelle, mais ça plaît beaucoup aux nouveaux-riches qui se prennent pour des bobos, ça se vend comme des petits pains. Ça me permet de financer des projets plus personnels. Sophie, elle, a un boulot plus classique : elle travaille pour une petite librairie / maison d’édition. Elles ont toutes les deux 28 ans (mais font moins que leur âge), et se connaissent depuis qu’elles ont 16 ans. Elles ont connu leurs premières expériences sexuelles ensemble, partagé leurs premiers garçons… Elles se sont vite rendu compte qu’elles avaient un appétit érotique hors du commun, et ont décidé d’en profiter à fond. Ensemble, elles ont tout essayé (je me demande ce que « tout » implique). — Pour nous, baiser c’est aussi naturel que manger ou boire, m’explique Sophie. On a besoin de jouir tous les jours. On a des copains, des copines, on sort, on va parfois en club… Et bien sûr, on couche aussi ensemble ! Parfois, elles ont aussi des relations plus régulières, un petit copain qui reste plusieurs mois ; mais en définitive, leur plus grand amour reste l’une envers l’autre. Bien évidemment, je suis tombé fou amoureux des deux. — Il est onze heures, nous dit Annabelle, et il fait un grand soleil : je propose d’aller pique-niquer. En sortant de la douche, Sophie enfile juste une robe d’été, qui lui arrive à mi-cuisse. Annabelle porte une jupe courte et un débardeur, sous lequel ses deux petits seins pointent avec arrogance. Alors que je fais ...
    ... une remarque sur l’absence de culotte de Sophie, Annabelle écarte les jambes et s’incline jusqu’au sol, me faisant découvrir un magnifique cul, dégagé lui aussi de tout textile. — On ne met jamais de sous-vêtement le dimanche, c’est un principe ! Bon, on en met rarement la semaine… Quant à moi, je n’ai pas de vêtement de rechange, et j’adopte donc la mode du jour. Les filles connaissent un petit coin de nature agréable et isolé dans les collines qui entourent la ville. Après une marche de quelques minutes à travers les chênes verts, on se retrouve dans une clairière à l’abri des regards (je passe sur la partie « pique » et vais directement à la case « nique », mais pour ceux que ça intéresse vraiment, on a apporté des sandwiches au jambon de pays et une bouteille de muscadet). On déplie une grande couverture, et les filles décident de me faire un petit spectacle. À genou l’une en face de l’autre, elles commencent par s’embrasser fougueusement. Annabelle retire sa jupe – elle a le pubis totalement rasé – et soulève la robe de Sophie et lui masse les fesses avec vigueur, puis la déshabille complètement pour lui dévorer les seins. Gourmande, elle les lape, les lèche, les tète, les mord, les embrasse, les tape, les caresse ; elle s’y frotte le front, les joues, comme une chatte en chaleur. Puis elle glisse sa langue le long du corps parfait de Sophie, et s’allonge sur le dos entre ses cuisses pour lui lécher la chatte – la seule activité qui vaille en ce bas monde, me dis-je ...
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