1. Mon apprentissage-8


    Datte: 17/12/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    Je récupérais Brigitte le mercredi après-midi pour prendre la route de Monaco. Elle était vraiment superbe. Elle portait un combi-short bleu clair. Pendant le voyage elle me raconta son histoire. Elle avait vécu dans une famille aisée à Lyon. Benjamin d’une fratrie de six garçons, Paul, c’est son vrai prénom était arrivé sur le tard. Plutôt chétif par-rapport à ses frères, il avait été couvé, materné par sa mère. Il se sentait différent. Il préférait la compagnie des filles et leurs jeux. Il avait des traits délicats. Adolescent, il était devenu un peu le souffre douleur de ses frères qui se moquait de lui et de son manque de virilité. Inscrit au football contre son gré, il avait fait l’apprentissage des douches collectives, des jeux débiles de comparaison de sexe, de pilosité. Avec son aspect androgyne, sa faible pilosité, sa petite queue, il se sentait de moins en moins à l’aise. Il abandonna très vite ce sport car il ne supportait plus les quolibets et les réflexions de ses camarades de jeu. Il fréquentait les magasins de mode féminine. Il aimait toucher les tissus des robes des chemisiers, les dentelles. Il commença à voler de la lingerie et des vêtements qu’il ramenait chez lui. Le soir il se travestissait. Il se sentait bien en femme et il portait de plus en plus de lingerie sous ses vêtements de garçon. Il prenait aussi de plus en plus de risques pour assouvir sa passion des vêtements féminins. Physiquement il était beau avec les traits très fins et ce côté gracile, ...
    ... un peu efféminé. A 16 ans, il était glabre. Seul, un très léger duvet recouvrait ses jambes. Son sexe était plutôt long et fin et ses couilles pas très développées. Il avait découvert le plaisir avec la masturbation. Un jour, il se fît prendre sur le fait dans un magasin. Le vol était suffisamment important pour qu’une perquisition soit faite dans la chambre où la police découvrit de nombreuses affaires volées. Il dût avouer la vérité à ses parents, leur confesser ses goûts particuliers. Ils étouffèrent le scandale en indemnisant les magasins où il avait sévi et décidèrent de le mettre en pension dans un lycée privé qui avait la réputation de mater les fortes têtes. On l’affecta dans une chambre qu’occupait un garçon de 17 ans, Pierre. Ce dernier, capitaine de l’équipe de rugby, était un très beau mâle de 1m85, plutôt sympathique, à la musculature impressionnante. Paul n’était pas très à l’aise. Beaucoup de ses condisciples étaient de petites frappes. Très vite son apparence physique fît qu’il se trouva en butte à des moqueries. On le traitait de gonzesse, de pétasse et certains se permettaient de lui caresser les fesses. Pierre le voyant en difficulté intervint, en secoua quelques uns et le pris sous sa coupe. Le harcèlement cessa. Pierre dans la chambre se promenait souvent en slip. Quand il prenait sa douche, il ne se cachait pas et Paul pouvait admirer sa musculature et son sexe impressionnant au repos. Pierre possédait une collection importante de revues pornographique ...
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