1. L'église


    Datte: 17/12/2018, Catégories: fh, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme init,

    Cette histoire remonte à ma jeunesse. À l’époque, encore jeune puceau, j’étais secrètement amoureux de la meilleure amie de ma mère. Suzy était son amie d’enfance. Elles s’étaient connues à l’école primaire et avaient gardé depuis de profondes affinités. Il ne se passait pas une semaine, sans qu’elles se voient, ni souvent un jour sans qu’elles s’appellent. Le jeune garçon que j’étais à l’époque et qu’elle avait connu tout bébé, était désormais devenu un beau jeune homme, que la vue d’une femme de 54 ans, encore belle et pleine de maturité comme elle, commençait à fasciner et à troubler… Je m’en souviens encore parfaitement, et comment pourrais-je l’avoir oubliée, elle portait si bien son âge ! À commencer par son visage, si charmant dans mes souvenirs. Une fine coupe courte de cheveux blonds encadrait son visage toujours joliment maquillé et marqué de quelques rides craquantes sur son front, sur ses joues ou aux coins de ses yeux. Elle avait un regard clair, une fine bouche le plus souvent ourlée de rouge, que je trouvais très séduisante. Des dents blanches éclatantes lorsqu’elle souriait, à mon plus grand bonheur, et un nez fin et harmonieux. Son âge n’était pour moi nullement un obstacle et même, au contraire, cette maturité m’impressionnait beaucoup et m’attirait terriblement. Sa douceur et sa gentillesse avec moi me troublaient, et je me disais qu’une femme de son expérience aurait sûrement toute la patience et la tendresse nécessaire pour m’aider à devenir un homme. ...
    ... Son mari, de dix ans son aîné, était très occupé par ses affaires professionnelles. Il était très peu à ses côtés et également peu attiré par son corps aux multiples trésors. De ce fait, c’était une femme délaissée et je l’ai surprise plusieurs fois s’en plaindre auprès de ma mère, regrettant ce manque d’attention et de caresses. J’avais le secret espoir que cette frustration puisse un jour la conduire à réaliser que j’existais. Qu’elle puisse enfin me voir autrement que comme le gamin charmant qu’elle avait toujours connu et qu’elle regarde enfin en moi ce jeune homme plein de sève et d’énergie, qui ne demandait qu’à lui en faire bénéficier. À chaque fois que j’avais l’occasion de la croiser, j’essayais d’attirer son attention, mais sans succès malheureusement, hormis de jolis sourires et de tendres attentions, mais rien qui ne réponde réellement à mes attentes. Sans perdre espoir, je continuais tout de même, à chaque fois, à l’observer secrètement et avec désir : elle était toujours vêtue de robes qui mettaient si bien en valeur ses belles jambes fermes, toujours divinement galbées dans des bas soyeux et rehaussées sur de très jolis escarpins. Ses cuisses pleines, harmonieuses et son cul rebondi me fascinaient autant que sa poitrine si tentante sous des pulls moulants, ou relevée dans des robes aux décolletés pigeonnants. Je ne pouvais me lasser de la regarder et même de l’épier. À chacune, de ses apparitions, mon cœur s’accélérait et mon ventre se nouait. Ce fut la première ...
«1234»