Les gros bouts de ma mere partie 12 - Histoires de Sexe

Les gros bouts de ma mere partie 12

... n'arrêtait pas, un vrai moulin à paroles. Et plus je la reservais en vin et plus sa langue se dénouait. On a eu droit à toute sa vie, les bons et les mauvais moments... Après le repas, Martine demanda où se trouvait les toilettes. Maman profita de son absence pour me parler discrètement. Maman : "Tu exagères, arrête de nous servir à boire comme ça. Je n'ose pas me lever. Je vais sûrement marcher de travers." Moi : "OK, mais je ne peux pas empêcher Martine de boire, c'est notre invitée." Maman : "Tais-toi, elle revient des toilettes." De toute façon, le verre de Martine se vidait de plus en plus difficilement, je pense qu'elle aussi était ivre. Je l'avais déjà remarqué quand elle est partie aux toilettes, sa jolie démarche mettant ses formes en valeur était moins sûre qu'en arrivant. Tout allait pour le mieux pour moi et j'étais presque totalement sobre. Malgré tout, je n'avais fait aucun plan à part de les faire boire, je m'étais dit qu'on verrait comment la soirée avancerait... Il était encore tôt et nous venions de terminer le dessert. Moi : "Martine, voulez-vous un café? J'en fais du très bon." Martine : "Oui, c'est avec plaisir." Moi : "Maman? Un café?" Maman : "Oui; moi aussi." Me revoilà en cuisine, je prépare nos trois cafés. Un normal et deux spéciaux. Une nouvelle idée m'avait traversée la tête, j'allais ajouté un fond de whisky et de la crème fraîche pour faire comme deux irish coffee, maquillés en cappuccino. Après cinq bonnes minutes, me revoilà au salon. Elles ...

... étaient encore à table en train de discuter. Moi : "Mesdames, si vous veniez prendre le café au salon." Maman : "Tu en as mis du temps pour faire trois cafés???" Moi : "J'ai soigné la présentation, j'ai fait des cappuccino. Martine, vous aimez les cappuccinno?" Martine : "Oui, j'adore ça." Les voilà qui arrivent au salon. Je sais qu'elles ne sont plus toutes jeunes mais elles n'avançaient pas vite du tout. Maman est saoule j'en suis sûr et Martine n'en mène pas large. Mes deux cappuccino ne vont pas arranger ça. L'alcool aidant, aucune des deux ne m'a fait de remarques sur une quelconque odeur ou sur un goût de whisky. Je pense qu'elles sont tellement saoules qu'elles ne sentent plus rien. Après le café, je décide de remplacer la musique de fond par une complilation de slows, j'ai quelques idées qui me traversent l'esprit... Moi : "Maman, c'est toi que j'ai choisie pour ouvrir le bal, veux-tu m'accorder cette danse?" Sûr de sa réponse négative vu son état, j'allais inviter Martine à danser mais au lieu de ça changement de programme, ma mère accepte de danser ce slow. Maman se colle à moi, sans doute aussi pour éviter de tomber. Nous voilà dans le salon, en train de danser un slow devant Martine. J'évite biensûr les gestes déplacés envers ma mère afin de ne pas choquer Martine. Ce premier slow me semble long mais je profite quand même pour bien sentir le corps de ma mère. Elle est tellement collée à moi que je sens ses gros bouts à travers ma chemise. Une érection commence, ...