1. Samia s'offre


    Datte: 18/12/2018, Catégories: fhh, hplusag, inconnu, grossexe, grosseins, train, telnet, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral fgode, fdanus, jeu, attache, yeuxbandés,

    ... retour de Samia. Quand elle rentra, je lui montrai le message. Nous n’avions rien de prévu le lendemain et décidâmes de confirmer notre venue. Quand ce fut fait, nous ouvrîmes le document joint, qui contenait un certain nombre de directives : Nous devions nous rendre chez Alain en utilisant les transports en commun ; il avait pris soin de noter le trajet et l’heure à laquelle nous devions être dans le métro. Il précisait également la tenue que devait porter Samia : imperméable, jupe évasée, chemisier, bas et porte-jaretelles, chaussures à haut talons, pas de culotte, pas de soutien-gorge. Elle devait rester debout dans le métro, regarder droit devant elle quoiqu’il arrive. Une fois arrivés dans le 17ème, nous devions aller prendre un verre et sonner chez Alain vingt minutes plus tard. Aucune information sur ce qui se passerait chez lui, mis à part que Samia devrait avoir les yeux bandés en arrivant à sa porte. Samia et moi avons passé ce soir-là un long moment à faire l’amour, prélude à la soirée du lendemain. Nous sommes allés travailler. La journée fut longue, très longue pour nous deux. Nous nous sommes retrouvés chez nous à 17 heures, nous sommes préparés pour être à l’heure à la station de métro. Il était 18 heures quand nous sommes arrivés sur le quai noir de monde, avec les sorties de bureau. A l’arrivée de la rame, nous nous sommes frayés un chemin jusqu’à la porte opposée, tournant le dos à la foule. Samia tenait ma main, nous avions une dizaine de stations à ...
    ... parcourir. J’étais persuadé qu’Alain était dans le wagon mais décidais de jouer le jeu et de rester, comme Samia, le nez collé à la vitre. Il ne se passa rien jusqu’à la troisième station. La rame repartit et je sentis Samia serrer ma main. Je la vis me regarder dans le reflet de la vitre, et fermer les yeux de temps à autre. Alain était entré en action, et Samia semblait apprécier ; je la sentais onduler du bassin, je l’apercevais se mordant les lèvres… Arrivés à destination, nous entrâmes dans le premier bar venu et commandâmes à boire. — Je ne sais pas si c’était lui, mais il a failli me faire jouir avant la fin du voyage, me dit-elle.— Tu as aimé ?— Oui, il a relevé ma jupe et s’est amusé à écarter mes fesses. Je crois que je suis restée deux stations comme ça. Ensuite, il a caressé doucement mon œillet et j’ai senti sa main remonter sur mes lèvres. Il m’a enfoncé un doigt… J’étais trempée ! Je la sentais excitée par la situation, impatiente de savoir ce qui allait se passer. Nous avons donc rejoint l’immeuble de notre hôte. Arrivés devant sa porte, je passai un loup sur les yeux de Samia, et ouvris son imperméable, laissant ressortir ses tétons gonflés à travers son chemisier blanc en satin. Je sonnai et après quelques secondes, Alain vint ouvrir, vêtu d’un peignoir. Il nous fit rentrer dans le vestibule, ôta l’imper de Samia et nous invita à entrer dans son salon dont le centre semblait avoir été dégagé de ses meubles, mise à part une simple chaise. Alain guida Samia jusqu’à ...