Pirates! - Histoires de Sexe

Pirates!

... les vendraient n'est pas important, ce qui est important c'est que jamais on ne les retrouvent. Les hommes que j'ai invités à cette vente sont triés sur le volet. Avec eux, aucun risque que quelqu'un les retrouvent ou qu'elles s'évadent. Les prix montent rapidement. Finalement le lot est pris par un Anglefricains propriétaire d'une mine d'Uranium, à Badia une petite ville du nord de ce pays. Il a déjà eut pendant trois ans, une putain blanche, une certaine Sheila. Elle est décédée il y a trois jours, ces chiennes la remplaceront parfaitement. Il vient d'avoir le lot pour vingt mille euros, une misère. Il les offriras à ses mineurs, qui sont traités comme des rois. Il se rattrapera sur les enfants qu'aura la plus jeune, qu'il vendra à prix d'or pour adoptions à des couples d'occidentaux ne pouvant avoir d'enfants. Cela le remboursera largement du cadeau qu'il fait aux hommes qui travaillent pour lui. On n'entendra plus jamais parler de Sylvie et Marion. Sylvie fut vendue pour un snuff atroces le jour de ses soixante ans. Depuis quinze ans ...

... qu'elle a rejoint la mine, Marion à eut seize enfants. Elle est encore en vie et continue son travail de putains pour homme de la mine. D'ailleurs à cette heure-ci elle est encore enceinte de six mois. Jean-Jacques quand à lui vient de prendre sa retraite de pirate à l'âge de soixante-douze ans. Il est mon voisin, et vit dans une belle villa près de la mienne. Il coule une retraite heureuse, avec un beau pécule, et ses dernières prises. Deux putains suédoises de vingt ans, et deux chienne d'américaines de dix-neuf ans. Les quatre sont enceinte de lui. Ses premiers enfants. Moi je finance toujours les attaques de pirates. Mon immense fortune gagnant quelques millions d'euros chaque années. Un anglais a remplacer Jean-Jacques. Il a quarante ans, il fut heureux de nous offrir sa femme de quarante ans également et sa fille de vingt ans. Il en profita lui-même avant de les mettre aussi aux enchères. Cette partie de ma vie prends fin. Peut-être qu'un jour je reviendrais dessus pour vous conter le début ou la suite de mon existence. A bientôt. Jean.