Emmanuelle, jeune dépravée exib dans un parking - Histoires de Sexe

Emmanuelle, jeune dépravée exib dans un parking

... écrasé par une cordelette, l'humidité qui suintait à l'entrée de mon vagin, moi qui écartait légèrement les jambes, lui offant le plus secret de moi-même, le premier mec qui me voyait nu . Enfin il fit un tour autour de moi, exhibée, fesses et sexe à demi-découverts, en plein milieu du parking, il s'arrêta devant moi,et d'une main, dégrafa sa ceinture et descendit le pantalon sur ses chevilles . Il y avait une grosse bosse dans son slip, et je me sentis attiré par ce truc imposant, d'autant plus, qu'à nouveau, il tirait sur la corde du string. -Vas-y petite salope, qu'est ce tu attends ? Tu as jamais vu une bite ? Tu me fais bander, petite pute Je posai ma main sur son slip, qui était en fine dentelle transparente et blanche, très moulant et qui tordait sa bite vers le haut . Je me mis à la caresser du bout des doigts, à travers l'étoffe, puis de l'autre main, je pris sa bite et la sortit de sa prison : je vis apparaître un gros gland tout luisant, et un membre droit et dur . Je m'étais mise à mouiller . Je la caressai, puis l'enserrai et me mis à la branler au rythme des torsions sur la ficelle du string, et j'étais terriblement gênée car elle frottait contre mon clito . Ma première bite, elle me rendait folle . J'entendis soudain derrière moi : -c'est la salope de coco ? Putain, elle est bien foutue, bas et porte jarretelles , j'adore . Retournes toi, sans cesser de le branler, tu as l'air d'apprécier . Je pensais pas que tu viendrais, ou alors, je pensais tomber sur un ...

... trav . TU n'est pas trav, petite pute ? -non, monsieur, je suis pas trav . Je me retrouvai face à lui, en continuant d'astiquer la bite d'une main, elle avait bien grossi, et je la branlais des doigts et de la paume, le contact était vraiment doux . Ce salaud continuait à s'amuser avec le string, et ma chatte, à peine poilue , était révélée : ma fente bien mouillée, mes petites lèvres un peu rouges, et mon gros bouton durci . Le deuxième se mit de l'autre coté, descendit jean et slip, prit ma main libre et la guida jusqu'à sa bite . Le premier correspondant, 17x5 ; elle était tendue vers le haut, bien plus grosse, sur son gland perlait une petite goutte . J'aurais voulu partir, mais le premier me retenait fermement par le string . Je me mis à le branler , lui aussi, et je restai de longues minutes à les masturber, les deux mains prises, regardant fixement devant moi, excitée comme je ne l'avais jamais été . J'y pris goût, et je mouillais de plus en plus, mon clito m'envoyait des petites décharges . C'est alors qu'un troisième surgit devant nous, me regarda en souriant, et je lui rendis son sourire, en me rendant compte de la situation : j'étais totalement offerte, j'étais obligée de continuer et de les satisfaire . Je pensais au mauvais conseil de Paul ( moi, c'était 100% ) . Il descendit d'un geste preste ma jupe, et je repris mes branlettes, plus rapides car ils avaient commencer à mouiller, eux aussi . Puis me fixant, il écarta la ficelle, me montra 2 doigts et me dit : -tu ...