1. Mr 2 sur 20


    Datte: 19/12/2018, Catégories: fh, caférestau, noculotte, BDSM / Fétichisme préservati, pénétratio, internet,

    Novembre 2009 Âgé de 45 ans, et en rupture sentimentale depuis trois mois, je cherchais une partenaire atypique, voire originale, partageant mes goûts et mon fétichisme pour un petit morceau de nylon appelé bas à couture. J’avais préparé une annonce sur un site de rencontres, tout à fait particulière qui devait harponner les plus belles prises. Beaucoup de contacts comprenaient mal mon annonce et c’était une façon d’ailleurs d’éliminer les moins futées… Et de façon plus générale, je recherchais une partenaire de jeux, sur la même longueur d’onde pour vivre des aventures… de toutes sortes ! J’avais pour habitude de faire porter ce type de bas à mes partenaires, ce qui parfois plaisait beaucoup. Il m’arrivait aussi de faire des photos soit en intérieur, soit parfois en extérieur, ce qui avait le don de m’exciter au plus haut point. Lorsque ma partenaire vibrait en phase avec moi, cela faisait naître les émotions les plus fortes ressenties de toute ma vie. J’adorais photographier une jolie femme en tailleur jupe droite, une paire de bas couture vintage, chaussée de hauts talons ou d’escarpins. C’est d’ailleurs sous ce nom que je m’étais inscrit sur le site le plus connu, ce qui ne manqua pas d’attirer les femmes au profil qui pourrait me convenir. Après un mois de contacts peu intéressants, j’abordais virtuellement une femme de trente-neuf ans, qui répondit tout à fait positivement à mes sollicitations. Marie, une vraie rousse, la photo non affichée sur le site pour des raisons ...
    ... professionnelles évidentes… 1,65 m, 65 kg, une chevelure rousse blonde, une coupe de cheveux tout à fait sobre. De l’extérieur, cette femme était un modèle de timidité, d’élégance et de charme, mais ne dégageait pas particulièrement d’ondes… sismiques… Sourire. Notre première conversation virtuelle fut très intéressante, au point que je demandais à Miss bas-couture de m’appeler, ce qu’elle fit le soir suivant notre première conversation, en numéro caché, alors que j’avais éteint mon portable. Elle me laissa ensuite un message sur le site en disant avoir trouvé ma voix chaude, enveloppante, élégante, mais légèrement hésitante, voire timide. Elle rappela le lendemain en laissant apparaître son numéro, et nous eûmes notre première discussion. Nous étions sur la même longueur d’onde et sa voix m’excita dès les premiers instants : une douceur, une sensualité, une féminité extraordinaires. Dès nos premiers échanges, la joute verbale s’installa et chacun joua de l’originalité de l’autre… Elle m’avait confié chercher à connaître un homme, et que l’aventure pure d’un soir, que le coquin commun, ne l’intéressaient pas. Sa voix était tout simplement la voix la plus féminine et érotisante que j’ai jamais entendue… Une profondeur, une langueur, une sensualité, qui me transperçaient à chaque fois qu’elle prononçait certains mots de notre belle langue. Nous nous étions initialement entendus sur un rendez-vous pour le samedi soir suivant dans un bar connu de la ville. Cette créature semblait ...
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