1. Une nouvelle voisine (2)


    Datte: 20/12/2018, Catégories: Lesbienne

    Résumé: Karine (la rédactrice), fait connaissance avec sa nouvelle voisine, une jeune femme prénommée Sandrine qui va doucement lui faire tourner la tête et à laquelle elle finira par succomber lors d’une nuit de passion. Chapitre 2 Je me débats, prise dans les tentacules d’une pieuvre géante qui me serre et m’entraîne vers une lumière puissante qui me fait mal aux yeux. Je tente de bouger et en même temps j’éprouve une fascination, pour son action, comme un papillon qui vole vers la lumière des phares. — Arrête de t’agiter... Je manque de sursauter face à cette intrusion, cette voix venue du néant. Euh, une minute, une pieuvre qui parle et qui m’attire non pas vers le fond mais vers la lumière. J’ouvre les yeux, bouge un peu pour éviter le rayon de soleil qui m’éclairait en plein, sens autour de moi, sur moi, un corps chaud et, soudain, me souviens de tout. Inutile d’être psychanalyste pour comprendre les tenants et aboutissants de ce rêve qui me semblait si réel. Je baisse un peu les yeux et vois le beau visage de Sandrine, blottie au creux de mon épaule, ses courts cheveux noirs entourant son visage pâle. Elle dort encore et son expression est celle d’une innocente détendue. Pourtant rien d’innocent dans ce que nous avons fait hier soir toutes les deux. Je ne sais plus à quelle heure, ni après combien d’orgasmes nous nous sommes endormies blotties l’une contre l’autre, je sais juste que je me sens bien, je me sens tout simplement moi-même, ou plutôt comme un papillon qui ...
    ... émerge de sa chrysalide. La lumière de mon rêve est tout simplement celle d’une nouvelle vie. Nous sommes samedi matin et je reste longtemps à l’observer. Après sa remarque du fond du sommeil, elle s’est rendormie et je pense à ce qui m’est, nous est arrivé. Je sais juste que je suis bien et qu’on verra tout simplement. Je me focalise plus sur cette sensation exquise d’avoir un être aimé contre soi, contre son cœur. Elle a fait glisser un peu les couvertures et le marcel trop large que je lui ai prêté dévoile son dos et baille assez pour que je puisse voir un de ses petits seins. C’est adorable et émoustillant aussi je dois le reconnaître. Je sens ses jambes nues sur mes cuisses, et je confesse sans honte que j’ai tiré un peu plus la couverture pour dévoiler son petit fessier vaguement couvert par un de mes vieux shorts amples. La tentation était bien trop forte pour que j’y résiste. Son petit postérieur est rond, haut et, stupéfaite, je note que ma main droite s’y est trouvé une place sans que j’en sois vraiment consciente. Elle est tout simplement très belle, jolie plante qui semble fragile mais si forte en même temps, hmmm la façon dont elle m’a plaquée sous elle à un moment. Et celle dont moi je l’ai attaquée... J’en rougis malgré moi, alors que nous sommes juste nous deux. La lumière de mon songe et qui était en fait le soleil à travers un petit trou des persiennes avance vers son visage et la réveille doucement. Elle bouge, rejette un peu plus la couverture (quel corps ...
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