Denise, sa rencontre avec Sam
Datte: 10/08/2017,
Catégories:
Hardcore,
Mature,
... moi. Elle est mignonne, cette vendeuse ; même taille que moi, aussi mince, belle Black.Cette tenue ressemble en tout point à ce que porte la vendeuse. Elle me dit que le haut se porte avec rien car il a un soutien intégré ; elle soulève le sien et me montre sa poitrine, bien plus grosse que la mienne, avec un sourire troublant. Elle me propose de m’aider à mettre le haut tout en me caressant la poitrine avec le dos de sa main. Mes deux bouts réagissent au quart de tour et pointent vers le désir. — Vous êtes sensible, me dit-elle avec son sourire plein de dents et de malice.Je lui souris, j’enfile son petit haut et mets la mini-jupe, vraiment mini : j’ai l’impression d’être nue dans cette jupe. La vendeuse me complimente ; elle fait bien son job, elle me dit que je fais jeune femme… Il ne faut pas exagérer ! — Je vous l’emballe ou vous la gardez sur vous ? me demande-t-elle.À ce moment-là, j’entends la voix de Sam qui dit : — Elle va la garder le temps de prendre un café avec moi.Je le vois qui m’admire tel un tableau dans une galerie. Je lui dis que je suis habillée un peu léger pour sortir ; il me répond qu’on va le prendre dans son bureau, à l’étage. Et voilà le piège qui se referme…Il dit à la vendeuse d’emballer les vêtements et qu’il m’offre le tout. Je n’ai pas eu le temps de dire ouf que l’ensemble des vêtements est dans les bras de la vendeuse, la jupe et mon bustier. Elle s’en va vers la caisse et Sam me demande de le suivre. On monte à l’étage. Je ne suis pas ...
... forcément rassurée ; j’ai l’air de m’être fait piéger comme une débutante. Quelle conne !Le bureau est spacieux ; un canapé en cuir d’un côté, une table avec quatre chaises de l’autre, le bureau avec deux fauteuils en face. Présidentiel, ce bureau. Très vite il se colle contre moi, ses mains englobant mes seins et les pétrissant, sa bouche dans mon cou, chuchotant : — Ne bouge pas, j’ai envie de toi depuis longtemps ! Tu es belle !Je ne bouge pas, surprise par l’attaque.Je sens son sexe gonfler à force de se frotter sur mes fesses ; je le repousse.Il m’invite à m’asseoir dans le canapé, très profond celui-ci. Mes jambes, mêmes serrées, laissent apparaître mon pubis rasé avec cette mini si mini. Il me fait remarquer que le rasage de la chatte est une habitude à Sébastien et à lui pour toutes les femmes qu’ils se prêtent. Il me sert un café et vient s’asseoir à mes côtés.Je lui réitère le fait que je ne coucherai pas avec lui sans mon amant. Il commence une séance de compliments sur mon corps, ma douceur, mon savoir-faire ; il m’excite. Il me demande ce que j’ai pensé de son sexe. Il attend ma réponse. Je lui dis que je n’avais jamais vu de sexe aussi gros, aussi long ni aussi noir, mais que je ne céderai pas. Le téléphone sonne, il va à son bureau. Il est en face de moi et me dévisage ; il passe sa langue sur ses lèvres, me détaille de haut en bas. Un grand trouble s’empare de moi ; mes deux bouts de seins se mettent à pointer et, avec un tissu aussi fin, on ne voit que ça. Il me ...