La fête foraine
Datte: 21/12/2018,
Catégories:
fh,
forêt,
magasin,
fête,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
facial,
Oral
jouet,
... méat. Je ne peux résister à l’envie de butiner cette rosée délicate et rare que la pointe de ma langue recueille avec délicatesse. Sa saveur est douce, onctueuse, envoûtante, légèrement salée. La pointe de ma langue écarte l’étroit passage et s’y insinue, cherchant à remonter cette source. J’aspire un peu mais, hélas, elle est déjà tarie. Ce n’est plus un, mais deux doigts qui s’agitent maintenant dans ma vulve survoltée, et la fleur a été remplacée par une bouche gourmande qui dévore mes petites lèvres et aspire mon clitoris. Je me sers à nouveau de la petite tige d’herbe pour violer l’entrée du méat. Je caresse les bords comme tout à l’heure et, voyant que de la rosée récompense mon initiative, je pousse plus profondément mon exploration. La pointe de la petite tige disparaît. C’est comme si à mon tour, je pouvais pénétrer dans le sexe de mon amant. En même temps, je le masturbe doucement. Lorsque la goutte qui perle au bout du gland est si grosse qu’elle commence à couler vers le prépuce, je la recueille avec la pointe de ma langue et me régale du nectar. Julien ne peut plus endurer ce traitement. Il me renverse et se positionne juste au-dessus de moi. Sans ménagement, il m’écarte les jambes et dirige son sexe à l’entrée de mon fourreau impatient. Par jeu, il attend là, immobile, et c’est moi qui, n’y tenant plus, propulse mon bassin vers lui pour m’empaler. La pénétration est vive. Elle provoque en moi une vague de plaisir à la limite de l’orgasme. Julien coulisse en ...
... moi avec détermination. Le sexe est gros, ferme et doux à la fois. Il bouscule mon intimité jusqu’au fond et irradie chaque millimètre de la paroi de mon vagin surexcité. Mon ventre tout entier s’enflamme. Une petite contraction de mon anus me rappelle soudain que lui aussi a subi l’assaut de ce membre ce matin. Je m’abandonne au plaisir et sombre dans la volupté d’être prise virilement. Je crie sans retenue. Julien accélère. L’accouplement devient violent, bestial. Nos corps ruissellent de sueur et la brise ne parvient plus à nous rafraîchir. Le phallus grossit encore, sort presque entièrement puis replonge dans mes chairs à vif. Il me bouscule tellement que ma vessie me rappelle qu’elle est pleine. Impossible pourtant d’interrompre nos ébats, alors je passe outre et poursuis la danse frénétique qui me propulse au septième ciel. La jouissance me submerge, déferle en moi comme une tornade que rien ne peut arrêter. Julien s’emballe dans un rythme endiablé puis ralentit. Il gonfle encore, à moins que ce ne soit les muscles de mon vagin qui se resserrent autour de lui. En tout cas il ne peut plus résister et par coups saccadés, il déverse en moi de puissantes giclées de sperme. À bout de force, il se couche sur mon corps tandis que je suis encore soumise aux délicieuses contractions de mon plaisir. Le poids de mon amant est plus que ne peut en supporter ma vessie et, malgré moi, je ne peux retenir le flux d’urine qui s’échappe de mon ventre écrasé, inondant nos sexes encore ...