Black Angel, justicière et soumise (5) - Histoires de Sexe

Black Angel, justicière et soumise (5)

... groupe avec deux garçons, mais la plupart m’entouraient, me tripotaient, me caressaient, m’embrassaient... J’étais parcourue d’agréables frissons, et je n’ai pas perdu mon temps puisque devant eux j’ai carrément déchiré l’attache de mon body pour leur laisser découvrir mon corps, puis j’ai commencé à jouer avec les superbes queues dures et dressées qui se présentaient à moi ; tous étaient superbement membrés. Je sentais que j’allais adorer cette soirée, aussi j’avais intérêt à en profiter au maximum. Je me suis agenouillée et j’ai commencé à faire connaissance avec tous ces sexes aussi beaux les uns que les autres. Béné est rapidement venue me rejoindre et nous avons partagé nos partenaires masculins avec une grande complicité ; naturellement, ils se réjouirent de cette initiative tout en nous caressant l’une et l’autre. Avec une branlette espagnole simple ou en double, aidée par ma délicieuse partenaire, la plupart des mecs n’ont pas été longs à jouir, en particulier sur mon visage qui fut vite poisseux de crème nacrée. Béné s’est précipitée sur moi pour me le nettoyer à grands coups de langue gourmands, ou en aspirant doucement la précieuse liqueur de ces messieurs. Une fois sa belle bouche pleine de cette gourmandise, je compris – à son regard si pétillant – qu’elle voulait la partager avec moi. Mais même si je ne suis pas une grande fan du sperme, je n’allais pas casser cette ambiance merveilleuse. « Ma belle Béné, si tu savais qui tu as en face de toi... » pensai-je ...

... tout en hochant la tête de façon affirmative. Elle prit mon visage dans ses mains, le plaça en dessous du sien, ma bouche bien ouverte et la langue tirée afin de récolter le maximum de foutre. Elle en laissa couler un peu dans ma bouche. Nous échangions la précieuse semence dans un long baiser crémeux en regardant les mecs avec une lueur gourmande dans les yeux. Nous leur laissions le soin d’admirer le ballet que leur ont offert nos langues gluantes devenues rapidement blanchâtres qui se mélangeaient. Nos bouches furent rapidement reliées par des filets de bave et de sperme mélangés. Les deux seuls qui n’avaient pas encore joui se sont assis sur le canapé côte à côte, leur queue bandée nous invitant à la plus belle des débauches. De concert, Béné et moi ne nous sommes pas fait prier pour venir nous empaler dessus. Quand un de ceux qui avaient joui une première fois se sentait à nouveau d’attaque, nous lui sucions à nouveau la tige de chair avant qu’il ne la mette dans l’antre interdit de ma grande rousse adorée pour une double pénétration en bonne et due forme. On peut dire qu’elle adorait ça : il suffisait de voir son visage se crisper par le plaisir et d’entendre ses cris pour en avoir la preuve. Ses partenaires étaient assez brutaux, mais uniquement parce qu’elle les y encourageait. Qu’est ce qu’elle était belle en pleine extase... C’est ça qu’on ressent dans ces cas-là ? J’en étais jalouse, et si je ne voulais pas qu’elle me pique la vedette, j’avais intérêt à y mettre ...