43.2 – Halle aux Grains. Stéphane et moi.
Datte: 23/12/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... pour moi… je n’ai pas fini ma phrase, que ses lèvres enserrent ma queue, faisant des allers retours amples et rapides sur toute sa longueur… ses doigts caressent toujours mes tétons… Ainsi mon orgasme sera puissant, incroyablement long et intense, je jouirai des grands flots dans sa bouche en émettant des petits râles à la fois contenus et inéluctables… j’ai l’impression que je jouis tellement que je vais lui remplir la bouche… pendant que je jouis, voilà que l’idée qu’il puisse avaler mon jus m’apparaît soudainement comme sacrement excitante… force est d’admette que pendant ce moment de plaisir aussi rapide et aussi puissant que l’éclair, plus rien ne compte à part sa propre jouissance, plus rien n’existe, c’est une éclipse passagère mais complète de la raison, un instant de ténèbre ou l’instinct pur refait surface en nous accompagné par des images et des fantasmes inattendus… c’est une petite mort, mais une mort si plaisante… Lorsque je reviens à moi, je vois Stéphane partir vers la salle de bain et un instant plus tard je l’entends recracher discrètement… au fond, je suis heureux qu’il en soit ainsi… l’excitation passée, j’aime autant qu’il n’avale pas… je crois que je ne suis pas prêt à demander cela à un garçon… c’est tellement demander… c’est si intime… je me dis que le fait qu’il n’aille pas si loin, ça va rendre plus simple de se retrouver après… Avaler le jus d’un garçon… c’est d’ailleurs une envie que tous les homos, que ce soit par goût ou par précaution, n’ont ...
... pas… moi je l’ai eue dès la première pipe que j’ai faite à Celui-dont-on-ne-doit-pas…, mais je crois que c’est surtout pour la raison que, depuis le temps que je fantasmais sur lui, depuis le nombre de branlettes que je m’étais tapées dans mon lit en pensant à sa sexualité encore inconnue, je l’avais déjà furieusement dans la peau… Et puis, il y a aussi le fait qu’il me l’ordonné ce jour là sur un ton si décidé, un ton qui n’admet pas de contradiction, un ton chargé d’une puissance virile à laquelle je suis si sensible et à laquelle je ne peux pas m’opposer, un ton qui établira une règle de conduite à laquelle par la suite je ne dérogerai que très très rarement… c’est vrai que j’y ai rapidement pris goût, car j’adore son goût de mec et j’adore le voir kiffer quand je lui fais ça… La peur de certaines maladies est dissipée devant l’envie de lui faire plaisir, devant sa façon terriblement excitante de l’exiger, j’ai fait taire mes dernières réticences en me disant qu’avec un hétéro, bien que serial baiseur et pas toujours protégé contre les intempéries, je ne risque pas grand-chose… c’est stupide comme réflexion… mais lorsqu’on a 18 ans et que l’on est si amoureux, on n’est pas très futés… Oui, j’adore avaler son jus, car je considère que le fait de laisser un garçon jouir dans sa propre bouche, d’avaler son jus d’un mec est l’un des trucs les plus excitants qu’on puisse lui faire… une soumission si puissante à sa virilité, une reconnaissance ultime du pouvoir masculin qu’il a sur ...