De Hervé à Vanessa, chienne soumise (29)
Datte: 23/12/2018,
Catégories:
Transexuels
Mon réveil fut des plus charmants. La table était dressée et mes trois femmes petit-déjeunaient. Appuyée sur le coin du chambranle, je reste un moment à les observer. Elles sont magnifiques. Je m’avance lentement vers Malika qui me tourne le dos et en mettant mon doigt sur ma bouche afin de prévenir les filles de se taire. J’arrive dans le dos de ma charmante négresse et lui mord l’épaule. Elle a un léger sursaut. — Hummm, ma vampire préférée... Hummm ; oui, mange-moi... — Bonjour ma puce... Elle frissonne et me prend par la nuque pour attirer mes lèvres aux siennes. Théna et Aléxia continuent de manger sans s’occuper de nous. Je lâche Malika et vais les embrasser. Je m’installe en bout de table et comme une reine, je suis servie par mes princesses. Café, viennoiseries, pain toasté, confiture et jus d’orange. Le pied. Malika, qui s’est rassise en tailleur, me demande si je veux bien les emmener à Ibiza. Je n’y vois pas de problème. On finit notre petit repas et on se prépare. Après notre cérémonial matinal, c’est-à-dire douche, lavement, brossage des chicots, pose de nos colliers et de nos plugs on opte tous pour la même tenue. Un tee-shirt ample sans manche au décolleté provoquant et d’une mini-jupe, tout cela blanc. J’enfile un tanga blanc pour pouvoir y ranger mon "Popol". On prend nos petites pochettes et on passe dire bonjour, au revoir à Maria. Domi, David et Caro étant partis de bonne heure vers la France. On descend dans le garage. La grosse berline n’y étant pas, ...
... mon choix va pour le Range-Rover blanc, ce qui suivra parfaitement avec nos tenues. Lunettes de soleil calées, nous voilà parties. Il faut vingt bonnes minutes pour arriver à destination. À l’arrière ça chahute gaiement. Malika, amoureuse me caresse le bras. On stationne sur un parking près du bord de mer. On parcourt les petites rues ombragées de la vieille ville. On s’arrête à un petit troquet, on s’installe en terrasse et on commande quatre "H" (mon péché mignon et ça nous changera du champagne). Le patron revient avec quatre bouteilles d’un demi-litre. Les filles regardent ces canettes hors-normes en faisant un "OH’ d’étonnement. Je rigole et prends une gorgée de bière et fais un "AHHH" de satisfaction. Elles m’imitent et trouvent cela désaltérant. Malika me caresse la cuisse en me regardant tendrement. On regarde la foule hétéroclite. Les mecs nous matent, les filles aussi. Elles sont toutes court vêtues, soit de jupes minimalistes ou de mini-shorts. Je regarde plus les nanas que les mecs. Ils sont soit bourrés ou émergent d’une nuit un peu trop arrosée. Passe une gonzesse, un peu forte, mais avec une poitrine énorme et un cul, mais un cul. Son mini-short lui rentre dans la raie des fesses. Elle est petite, blonde, des yeux verts (je crois), un petit nez en trompette, une large bouche aux lèvres pulpeuses et un sourire éclatant. Elle n’a pas vingt ans. Je la fixe et elle le remarque, elle rougit. Je décide de la brancher et lui fais mon plus beau sourire. Elle parle à ses ...