1. Une star pas comme les autres...


    Datte: 23/12/2018, Catégories: fh, ffh, uniforme, hotel, amour, fdomine, intermast, policier,

    ... Julien de surveillance 1 ?— Julien, j’écoute.— RAS pour Falco, aucune trace dans la salle, l’arrière-salle, les loges, les sanitaires, le comptoir. Il ne reste plus que le stade, mais là, on est à court de temps, c’est trop grand.— Ok. Vérifie quand même les pylônes, en bas au moins, et les rangées de fauteuils. On cherche une arme.— Ok, bien reçu. Marlène sort à nouveau de sa chambre. Elle a enlevé son peignoir, elle est en nuisette quasi transparente, on voit sa culotte blanche à travers. Elle est sublime. — ‘Jour les filles. Elle se penche sur moi, m’embrasse sur la bouche, un petit bisou tout doux, et en profite pour prendre quelques croissants et une banane. — Bonjour, mon chéri. Elle nous tourne le dos, et rentre à nouveau dans sa chambre. — Tiens, madame est de bonne humeur ce matin. Cool.— Pourquoi dites-vous ça, Diane ?— Ben d’habitude, elle est plutôt énervée le matin d’un concert. Là, elle est toute calme, et en plus, elle mange le petit-déjeuner. C’est la première fois, pour ce qui me concerne, que je la vois comme ça.— Les gens changent, Diane… Et puis, on s’est bien défoulé hier aussi, ça détend.— Ah oui, ça, on peut le dire.— Pourquoi vous dites ça ? demande Amélie.— Madame et le Capitaine se sont amusés avec moi, hier, à la demande de Madame.— Pff, pourquoi c’est toujours toi. Je ne lui plais plus ? Amélie à l’air peinée. — C’est un peu de ma faute, Amélie, Marlène sait que j’apprécie Diane, donc….— Et moi, je ne vous plais pas ?— Si, bien sûr. Bon, et qui ...
    ... c’est qui s’est empêtré dans les emmerdes ? C’est le Juju… — Vous me plaisez aussi, Amélie, il n’y a aucun souci là-dessus. C’est juste que ça s’est trouvé comme ça… Je ne m’en sors pas, là… — Donc, Diane vous fait bander, du coup, Madame vous fait sauter Diane, et elle, elle rafle les primes de fin de mois. Super ! Amélie a un regard dur et sévère envers Diane. — Bon, Amélie, je vais en toucher un mot à Marlène, pour les primes, rassurez-vous.— Ah mais non, ou alors, faut que je la mérite. Je ne demande pas l’aumône non plus ! Diane s’en mêle, pendant que moi, je m’emmêle… — Tu sais, Mélie, Madame demande souvent au Capitaine de me prendre par derrière… comme hier… En plus, elle sait que j’aime bien, donc…— Et alors, tu crois que y’a que toi qui peux te faire enculer ? Que y’a que ton cul qui peut recevoir le Capitaine ? Eh bien, sache que tu te goures ! Ce n’est pas parce que tu as un gros cul qu’il n’y a que toi pour te faire enculer ! Elle est en colère, maintenant. Elle a élevé le ton, du coup, Marlène passe une tête hors de sa chambre. — Qu’est-ce qu’il se passe, ici. Amélie, je t’entends brailler jusque dans ma suite. Il y a un problème ? Elle nous regarde tour à tour. Les filles baissent les yeux. — Rien de bien méchant, Marlène, on discute. Désolé si on a fait trop de bruit, on ne voulait pas te déranger.— J’ai entendu « cul » et « enculer », vous parliez de quoi au juste ? Explique-moi, Julien, c’est quoi le souci ? Jouons franc jeu, après tout. — Juste qu’Amélie ...
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