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Vacances Grecques. (1)
Datte: 10/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe
... serons de l’excursion de demain. Quelle aubaine ! C’était aussi un de mes fantasmes. Je voulais le réaliser avec Karine pendant notre séjour : une bonne baise lesbienne dans les ruines. Là ce serait encore mieux, j’aurais un homme et une femme pour assouvir cette envie. Le lendemain, je retrouvais André et Véronique qui attendaient notre minibus au bar de l’hôtel. Les présentations faites, je me prénomme Julia, nous avons continué de bavarder comme de vieux amis pendant le court trajet jusqu’aux ruines située non loin d’Héraklion. Après avoir suivi la visite guidée, nous avions près de deux heures avant de rejoindre notre point de rendez vous pour le repas et la suite de la journée. Nous nous sommes esquivés discrètement vers un endroit reculé des ruines que nous avions repérés. Dès que nous avons été à l’abri des regards Véronique a pris les choses en mains si on peut dire ! Elle m’a enlacée pour m’embrasser à pleine bouche en passant ses bras autour de mon corps pour plaquer ses mains sur mes fesses. J’avais vite compris que j’avais à faire à une bisexuelle. Nos langues se livraient à une sorte de duel, mélangeant nos salives à en perdre le souffle. Grande femme brune à la poitrine opulente et bien ferme et aux hanches pleines, ont pouvait dire que c’est une belle femme dans la pleine maturité de son âge. Un peu plus grande que moi, elle portait un sweat-shirt et une jupe descendant au dessus des genoux. J’étais vêtue d’un chemisier dont les pans étaient noués dans le dos ...
... et d’un short court. André, habillé d’une chemisette et d’un pantalon large en toile, s’était placé derrière moi. J’étais prise en sandwich entre mes deux nouveaux amis. Collé contre mes fesses, je sentais sa queue bandée dans ma raie. Par derrière, il avait pris mes seins à pleine main pour le pétrir. Au travers du tissu de mon chemisier et du soutif il avait fait dresser mes tétons et il les pinçait doucement. Je subissais leur assaut avec délectation. Les baisers de Véronique et les caresses d’André avaient mis le feu à ma libido. Je sentais ma chatte humide et une douce chaleur (qui ne devait rien au soleil) envahissait mon bas ventre. Entre mes fesses, je percevais la bite d’André de plus en plus dure et pressante. Il avait su y faire, j’étais désormais les seins à l’air. Il avait dénoué les pans de mon chemisier et fait sauter l’agrafe de mon soutif. Quittant mes lèvres, Véronique avait ôté son sweat-shirt et son soutien gorge avant de se pencher sur mes seins et venir mordiller les tétons. Ceux-ci étaient bien sortis tellement j’étais excitée. Ils avaient la taille d’un gros pois chiche. André avait fait glisser mon short jusqu’à mes chevilles. Passant entre mes cuisses, il est venu empaumer ma vulve et a commencé à la masser par-dessus le triangle de mon string. Je ne sentais plus sa bite entre mes fesses, mais je la devinais, toujours aussi raide et impérieuse, dressée et prête à l’estocade. J’étais prête moi aussi. Je me suis penchée en avant en me maintenant à la ...