Une commomération mémorable
Datte: 10/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... coquin, que nous venions de faire quelques jours auparavant. Et c’est avec un grand sourire qu’ils me quittent et me demandant de saluer ma miss. En arrivant dans notre chambre, je découvre une Béa sur le lit, nue, un masque sur les yeux et surtout très offerte, les cuisses bien écartées, dévoilant sa fente, déjà ouverte d’où perle des gouttes de cyprine. J’en déduis que loin d’être choquée, elle est au contraire très excitée d’avoir été vue me faisant une pipe, avant de se faire prendre. Inutile de préciser qu’en un instant j’étais nu, et la queue bien bandée, je lui ai fait l’amour, la possèdant furieusement, encouragé par ses demandes de la défoncer et de la faire jouir. La jouissance est venue, puissante, fulgurante et accompagnée de puissants cris qui à n’en pas douter, ont dû être entendus de nos invités. Béa. Lorsque je me réveille, jean n’est plus à côté de moi ; il a l’habitude de se lever tôt, de prendre son café en lisant ses mails. Pour moi, je suis une peu plus tardive, surtout ce matin ; je suis encore moulue de nos exploits de cette nuit ; j’ai la chatte engluée de semence et les adducteurs douloureux d’avoir été écartelée. J’ai envie de lui faire une surprise et j’enfile un combiné de nuit, très coquin ; un simple voile recouvre le haut, alors que mon bas est un shorty, très ample et très transparent ; pour accentuer la provocation, je le remonte le plus possible, ce qui fait que ma chatte est écrasée sur le tissu. Quand je déboule dans le salon, il reste un ...
... moment éberlué, puis rapidement, il retrouve ses esprits ou plutôt ses envies ; ce que j’espérais. Me plaquant sur le bras du canapé, il a tôt fait de me prendre, écartant simplement le tissu ; me traitant de sale petite coquine, il me pourfend, prenant son plaisir, fortement, à grand coup de queue ; il ne faut pas longtemps pour que ma jouissance arrive, d’autant plus que je découvre que nous sommes épies ; en effet John, dans l’entrebâillement de la porte assiste à notre ébat ; je ne sais pas depuis quand, mais sa main dans son survêtement prouve qu’il a du bien en profiter ; nos regards se croisent et m’invitant au silence en posant un doigt sur sa bouche, il se retire, à mon grand regret ; quand jean éjacule, je ne peux retenir un long cri . Mon homme vient de partir, mais je suis toujours dans la cuisine, espérant l’arrivée de John ; des bruits de pas, mais je ne me retourne pas ; deux mains se plaquent sur le tissu qui recouvre mes seins ; mes tétons sont vite triturés ; appuyé contre moi, je sens très bien son gros bâton qui s’écrase sur mon fessier. Puis me soulevant, il me dépose sur la table, posant mes jambes sur ses épaules ; , après m’avoir arraché le shorty ; les cuisses ouvertes, je lui offre la pleine vue sur mon intimité, les lèvres encore pleines de semence ; en une poussée , il a investi ma grotte, sans aucune difficulté ; sa queue , pourtant grosse et longue glisse facilement dans le conduit bien lubrifié et quand il ressort, un bruit indécent s’échappe de ...