1. Cath, bientôt à moi


    Datte: 25/12/2018, Catégories: fh, fplusag, ascenseur, caférestau, BDSM / Fétichisme chaussures, intermast,

    Chose promise…. Depuis, j’ai revu Catherine. Toujours avec son Anthony, elle me lançait toujours des regards qui me ne mettaient pas très à l’aise. Elle me plaisait vraiment cette fille. Toujours de jolies chaussures, de jolies robes. Et ses jambes… Elle était très sportive. Ses jambes étaient (et sont toujours) galbées à souhait, musclées et fermes. Toujours bronzée, le nylon qu’elle portait lui donnait une sensualité débordante. Elle avait un petit quelque chose de Corinne Touzet en légèrement plus mince. Nous nous envoyions quelque textos par ci par là. Relativement soft. Me disant qu’elle serait tentée si Anthony n’était pas là. Ça se passait donc mal dans son couple. Anthony, qui était toujours mon pote, se confiait à moi. Et plus il me parlait d’elle, plus j’espérais qu’elle le quitte. Ce qu’ils firent 1 ou 2 mois plus tard. Le 17 décembre 2001. La veille de l’anniversaire de Catherine. Je le savais déjà, Catherine m’avait prévenu qu’elle le ferait la semaine d’avant. Le lendemain, je rentrai tôt du boulot. Je fus chez moi vers 18 h et me mis à l’aise pour passer une soirée tranquille en bon célibataire. Pizza, bière, console de jeux. Un coup de fil. C’est elle. — Bonjour, Marcus— Tiens bonjour, comment ça va ?— Bah pas trop bien en fait…— Te casse pas je suis au courant.— Ah ?— Bah oui. Et tout se sait très vite. Tu veux qu’on parle ?— J’ai pas trop le moral, dit-elle. C’est mon anniversaire aujourd’hui.— Non ?! Attends je t’invite au resto, on va en parler. En ...
    ... clair je sautais sur l’occasion de la revoir. Seul à seul… En l’attendant dans le resto, je sentis une petite piqûre sur la nuque, ma conscience. (C’est un pote tout de même, je suis pas sûr qu’il apprécierait que j’invite son ex le lendemain de leur rupture…) Cette piqûre a disparu dès qu’elle a poussé la porte du resto. Elle était magnifique. Une bouche sensuelle soulignée par un rouge à lèvre rouge foncé. L’avancée de ses dents lui donnait une moue retroussant ses lèvres divinement. Un pull à grosse maille permettait de deviner son soutien-gorge qui, après que j’ai louché sur son décolleté, s’avérait être en dentelle crème. Une petite jupe vert kaki coupée grossièrement au-dessus du genou découvrait ses jambes gainées d’un collant chair brillant. Des petites chaussures italiennes en cuir et à hauts talons finissaient le tableau. Nous échangeâmes un large sourire lorsqu’elle s’assit lentement, en avançant son buste légèrement. Assez pour que je puisse distinguer la naissance de ses seins. J’étais gêné. J’étais émerveillé. Je la détaillais longuement sans dire un mot. — Mais qu’est ce que j’ai ? dit-elle se caressant la nuque.— Rien, tu es très belle.— Merci. Elle rougit. Nous étions tous les deux gênés. Ne savant pas par quoi commencer. Alors je cherche quelque chose dans ma poche, le cache dans ma serviette et glisse le tout dans sa main. — Tiens je crois que ça t’appartient, lui dis-je. Elle ouvre et découvre le collant qu’elle m’avait glissé dans ma veste quelques mois ...
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