Peau lice - Histoires de Sexe

Peau lice

... Je ne sais pas comment me sortir de la situation. — Rassurez-vous madame, j’ai fait cela parce que c’est pratique, esthétique et que ça me plaît énormément. Je fais ça depuis quelques années.— Vous… Vous… savez c’est la première fois que je vois cela en vrai. Excusez-moi pour ma curiosité. Elle reste figée devant, bouche bée. En la voyant me regarder comme ça, ma queue repart de plus belle. — En effet le gland me semble bien irrigué, commente-t-elle doctoralement. Tout me paraît en parfait état de marche, monsieur Thomas, me sourit-elle. Tentant le tout pour le tout : — Vous savez tout sur moi maintenant et si vous le souhaitez vous pouvez toucher et sentir par vous-même la sensation que cela fait. Je tiens ma queue dans ma main et ma seconde main libère légèrement la blouse. — Mais si vous préférez, vous pourrez le faire plus discrètement pendant que je dormirai, dis-je en plaisantant. Elle n’est ni effrayée ni séduite par ma proposition. Puis au bout de quelques secondes, elle vient se coller à moi et passe une main un peu froide sur mes testicules. Un grand sourire apparaît sur son visage. Elle sent merveilleusement bon. — Jeune homme, est-ce que je dois penser que le médicament que je vous ai donné est efficace pour vous détendre ?— Oui, très efficace, vous m’avez surpris en train d’éjaculer, j’étais tellement zen. Je pose une main sur son épaule. — Je me dois de soulager les problèmes de mes patients, quels qu’ils soient… Laissez-moi faire… Dans l’état où vous êtes, ce ...

... ne devrait pas être long… En effet c’est très surprenant comme sensation, un sexe d’homme rasé. Je dois dire que j’apprécie énormément. Dans l’état où est votre membre, ma petite opération ne va pas me prendre trop de temps. Dommage ! En me regardant droit dans les yeux, elle commence à me masturber doucement, sa deuxième main me massant tendrement la bite. Je reprends le dessus de la situation petit à petit et apprécie beaucoup la manière de faire de ma partenaire : elle se cale sur ma respiration. On ne parle pas mais nos regards sont pleins de désirs. Elle approche sa bouche de la mienne et me dit, presque à voix inaudible : — Caresse mes seins… Mes mains parcourent doucement ses rondeurs n’osant descendre vers son sexe. Je déboutonne quelques boutons et glisse mes mains dans son corsage, un très joli soutien-gorge en dentelle jaune. — Ça ne va pas ? lui demandé-je, avec un trouble dans la voix.— Si, ça va, mais ta peau est tellement douce, ça me rend un peu folle… Au bout de trois minutes, je ne tiens plus, je la préviens que je vais jouir. Avec un malin sourire, elle s’agenouille et me branle de plus en plus rapidement en me regardant avec des yeux de braises. Quand je sens la montée du sperme, je la force à mettre ma queue dans sa bouche pour me vider complètement — Je ne pensais pas qu’à mon âge je pouvais encore intéresser un beau jeune comme toi,— Mets-moi un doigt dans le cul, un petit doigt vicieux. J’avais honte en le disant, tellement honte. Et ma douce infirmière ...