1. Le rendez-vous du panard


    Datte: 26/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Depuis que j'écris mes histoires, je reçois des avis de lecteurs. Puis un jour, dans ma boîte mail, je reçois ce message : - Tu dis toujours que tu ressembles à un éphèbe, que t'as un joli cul, et que tu aimes l'amour sauvage. Alors, j'ai décidé de tout vérifier. Je t'invite à une soirée sadomaso. Si ce que tu écris est vrai, je sais que tu me contacteras. Mon numéro temporaire est le 69 ..... Je suis sûr que tu trouveras l'énigme. Voilà comment ça va se passer. Tu m'appelles. On convient d'un rendez-vous dans un lieu quelconque, sauf chez toi, ou chez moi. Tu passeras une cagoule opaque, et je t'attacherai les mains dans le dos. Ceci, pour éviter que tu repères l'endroit où on ira, et les lien pour éviter toute agression à mon encontre. Je te ramènerai ensuite au lieu du premier rendez-vous, et tu pourras rentrer chez toi. Ce sera une soirée sadomaso, mais sans douleur. Si tu n'es pas là, 24 heures après ton appel, je ne t'attendrai plus. Ah, pour me reconnaître, j'aurai un lingam autour du cou. Je sais que tu sais ce que c'est ! Trop curieux, et excité, pour renoncer, malgré les risques potentiels, j'ai appelé, puis me suis rendu, à l'endroit convenu. Au téléphone, la voix semblait être intéressée par mon costume de fille, vous savez, celui avec un tutu rouge. Le lingam était parsemé de pierres rouges, façon rubis. C'en étaient, peut-être. C'était une femme. Nom de dieu, qu'elle était belle. Elle n'attendit pas que je m'asseye. Elle avait reconnu le tutu. Elle vint à ma ...
    ... rencontre, et me prit par la main. J'étais juché sur des escarpins vertigineux. - Quelle classe ! Dit-elle. Ca va éclairer la soirée ! Nous montâmes dans sa voiture. Elle se tourna vers moi et ajouta : - Les plaques sont fausses ! - Pourquoi tant de précautions ? - Il y a des gens très connus qui viennent s'encanailler....dit-elle avec un sourire carnassier. Elle sortit une cordelette de son sac à mains, et comme prévu, elle lia mes mains dans mon dos. Elle me passa la cagoule sur la tête, et ce fut la dernière fois que j'entendis sa voix. Au bout d'un assez long temps de trajet, on s'arrêta et ma portière s'ouvrit. Une main délicate, saisit la mienne et m'invita à descendre du véhicule. On me fit entrer dans une pièce, et j'entendis la porte se refermer, avec le bruit d'une d'une serrure de sécurité. On me retira la cagoule, et pourtant je ne voyais rien. On me dirigea vers un endroit où je semblait être seul. On me délia les mains. D'autres mains agrippèrent ma chemisette blanche, et la firent passer par dessus ma tête, me faisant lever les bras en l'air. D'autres mains en profitèrent pour dégrafer le tutu rouge. De grosses paluches me forcèrent à m'asseoir sur une sorte de tabouret de bar. On me retira mes bas de soie blancs. On me remit debout, et j'attendis. J'entendais des murmures feutrés. On me fit faire un tour complet sur moi-même, très lentement. Des mains grosses mains caressèrent mes fesses. D'abord tendrement, puis, plus fermement,et enfin, d'une façon un peu plus ...
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