1. Soumise aux ordres de mon Maître (2)


    Datte: 26/12/2018, Catégories: Hétéro

    ... sens monter en moi un orgasme venu de très loin, je sais que je n’attends qu’une chose de l’avenir : que mon « Maître » me demande d’aller plus loin encore plus loin, plus loin, encore. Qu’il me fasse découvrir jusqu’où je suis capable d’aller, quelles sont mes limites. Je le sens qu’il s’excite, me serre la taille, vient taper, ressort. Ses doigts vont laisser des marques, il s’excite, il me parle : - Salope ! Petite chienne en chaleur, t’es bonne, tu sens ma grosse bite ! Mais je n’entends pas tout et tout à coup une phrase change tout : - J’ai un message pour toi, Sophie ! Quoi? Mais quoi? Mon prénom? Il poursuit ses allers-retours. Je le sens qui grossit, il devient fébrile. Il me secoue encore plus fort, plus vite, plus au fond. - Patrick m’a laissé un message pour toi : Jouis Sophie, c’est un ordre! Et j’implose, j’explose, mon corps répond à ton ordre, selon tes désirs je me libère dans un orgasme que je n’attendais pas. C’est pour Toi, Patrick, que j’accepte d’aller plus loin, me surpasser, me dépasser. Je l’ai fait!!! Je te raconte. Je suis quand même curieuse, comment? Quand? Comment es-tu toujours là? Comment, alors que je crois avoir des choix, tu avais déjà tout prévu? Le voisin ne tient guère plus qu’un lapin. Je sens en moi couler sa semence. Il se relève et sans un mot, s’éloigne en se reculottant, me laissant exsangue, me relever de mon coffre et cacher la souillure en rabaissant ma jupe. Vite, une douche pour me purifier de cette liqueur qui n’est pas la ...
    ... Tienne. Je Lui fais mon rapport avec moult détails et lui mets un petit post-scriptum : La suite des numéros, Maître? Ta soumise, Sophie. Mon « Maître » a été particulièrement satisfait de mon rapport et m’a donné encore deux chiffres chèrement gagnés, me félicitant chaudement de mon courage. Il me demande même si je me suis caressée en le tapant. Je lui avoue que j’ai du faire une pause-café avant d’arriver à la fin tellement j’ai mouillé ma culotte, enfin, façon de parler puisque je n’en avais pas. Il me félicite encore en m’appelant « sa petite esclave sexuelle ». C’est un peu humiliant mais je dois confesser que ça me plait. -Je vais poursuivre ton éducation de soumise. Ton prochain challenge sera le suivant : tu vas aller à cette adresse dans deux jours à 21h00 précise et tu demanderas le salon bleu. J’ai déjà entendu parler de cette adresse, c’est à moitié une maison close, à moitié une boite échangiste. Je suis incrédule. Je lis les consignes en frissonnant, une robe droite, rien d’autres à part mes chaussures. Cette fois, Il m’en demande trop. Jamais je ne pourrai aller là bas ! Je réfléchis une partie de la nuit et le lendemain matin, je détruis tous nos échanges, change de mail. Il n’a seulement que quelques photos de moi. Mais il ne se passe pas cinq jours avant que je ne craque. Je ne pense qu’à lui, jour et nuit. Je suis comme une droguée en manque. La vérité ? C’est que je réalise que je ne peux plus me passer de mon Maître, de nos échanges, de mon « dressage ...