1. COMMENT J'Y SUIS VENU EP 6 : AVAL AVAL AVAL


    Datte: 26/12/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... ne pouvais rien faire, je pouvais bien lui sucer la queue et c'est ce que je faisais mais je veux dire, avec ma queue. La je ne pouvais rien faire. J'étais en manque, j'avais envie de me branler je ne vous dis pas, c'était l'horreur. Je bandais comme un fou et je ne pouvais pas me soulager. À cet instant j'ai souhaité qu'il me défonce le cul comme il l'avait fait la veille avec ma bouche. J'avalais sa queue sur toute sa longueur, jusqu'au fond de ma gorge. Je commence à avoir l'habitude. Il n'appuyais pas sur ma tête, il me laissait faire. Il se réveillait doucement et je suis sûr que c'était un très bon réveil … Pour lui ! Il commençait à me caresser le dos, sa main descendait jusqu'à mes fesses, il glissait un doigt entre. La main suivait à plat jusqu'à la base de mes couilles, là ou se trouve le cock-ring, il continuait sur mes couilles. Il me les caressait, me les tripotait sans violence, il les prenait à pleine main et les serrait fort, pas trop, pas pour me faire mal mais suffisamment. Ma bite se révoltait, c'était pas la première fois depuis la veille qu'elle se révoltait celle là ! Moi je restais très concentré sur ce que je faisais. Ça se présentait bien cette affaire, il passait un doigt tout autour de mon anus, il appuyais sur mon trou de balle, un pression douce, il y allait avec douceur. Il revenait sur la raie de mon cul qu'il caressait avec insistance mais sans essayer de forcer le passage. J'étais détendu, je me laissais faire, j'avalais facilement sa queue ...
    ... maintenant,il me motivait. Je gémissais de désir, il gémissait de plaisir et finissait par exercer un légère pression sur ma tête. J'aurais du me douter que … Mais je ne pensais qu'au moment ou il allait se retourner, me retourner et me défoncer le cul quand il jouissait dans ma bouche. Il retenait alors ma tête avec douceur, comme pour me dire de bien tout avaler. C'est ce que je faisais, j'étais vexé, déjà il débandait et sa main ne s'intéressait plus qu'à mes fesses, ses doigts ne se promenaient plus sur mon anus. Je le sentais s'étirer de tous ses muscles, il me caressait la joue, se relevais et. Francis : Si tu me préparait un petit déjeuner au lit tu sais que tu serais vraiment un amour. Il me donnais alors un baiser sur la joue et devinez quoi … Je l'ai fait ! Ça s'est passé comme ça tous le matins sauf que j'ai pas fait le petit déjeuner tous les jours mais pour le reste, c'était comme ça tous les matins. On arrivait vite au week-end. C'est lui qui décidait du programme. Il m'entraînait chez des copains à lui. J'en connaissais vaguement plusieurs de vue, sans plus quoi, on n'avait pas baisé ensemblen en fait donc je ne les connaissais pas ! La soirée se passait bien, on picolait, on écoutait de la musique, on chantait, on dansait. Sous l'effet de l'alcool trois de ses copains se retrouvaient à poil. C'est vrai que ces trois là n'ont pas forcément besoin d'alcool alors avec vous imaginez après quelques verres ! Je les connaissais bien pour ça ! Bon il y en a encore un ...
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