1. Femme au foyer


    Datte: 26/12/2018, Catégories: fh, couple, extracon, gymnastiqu, entreseins, Oral 69, pénétratio, fsodo, hdanus, lettre,

    ... que ma libido se déchaîne. Il suffit d’une pensée, d’un regard sur ma femme qui passe, habillée ou en petite tenue, pour que ma verge me rappelle à l’ordre. Et, comme a dit le toubib, « Évitez les contrariétés. » Aussi nous évoluons entre « éviter les contrariétés » et « sexe sage ». C’est un bonheur fou et d’un érotisme torride de n’être qu’un objet entre les mains de sa femme. Je dois préciser : — un objet, oui, mais animé de sa propre vie. Un objet de chair qui est capable de se déployer d’une seule caresse, rester longtemps vigoureux et se transformer en lance à incendie. Quant aux « mains de sa femme », c’est trop limité pour être exact. Non ; la liste est trop longue : langue, lèvres, chatte, seins, etc. Ondine se révèle une amante sans pareille. Elle prend toutes les initiatives et le chef d’entreprise que je suis se laisse mener à la baguette. Dans le lit – ou sur le canapé – elle me chevauche. Ma verge disparaît dans sa gorge, entre ses seins, dans sa chatte. Chaque fois, j’éjacule avec une jouissance sans pareille dans sa bouche. J’attends, presque avec impatience, qu’elle absorbe ma liqueur puis vienne m’embrasser pour me faire partager ce goût âpre du sperme. Elle est formidable ; elle a même innové dans nos jeux. Ce jour-là elle est sur moi, mais en 69. Nous pouvons ainsi nous caresser mutuellement. Elle joue avec ma verge. Je joue avec sa chatte. Je sens sa main qui se glisse entre nous, puis elle me donne ses doigts à lécher. Elle les fait entrer dans sa ...
    ... chatte, repoussant mon visage. Elle joue à se posséder. Elle les ressort et, sous mes yeux, son majeur pousse sur son anus, force le passage et disparaît presque entièrement. C’est chaud ! Elle utilise son doigt comme une petite verge, entrant, sortant, le faisant tourner. D’habitude, c’est moi qui la « doigte » ; enfin, quelquefois, car elle n’a jamais semblé apprécier cette caresse et je n’ai pas voulu la forcer. Mais là, c’est différent, très différent. Elle montre du plaisir et ses lèvres se font plus pressantes autour de ma verge. Je ne peux pas résister. Je salive sur mes doigts et, moi aussi, je joue dans son sillon. Elle me laisse la place. L’index entre facilement, si facilement que j’ose le majeur. C’est plus dur, mais la corolle cède et je suis dans la place. Oh, elle me mordille le gland… Je la branle et tourne dans un sens puis dans l’autre. L’anus s’assouplit. Le sphincter, ce chien de garde, semble accepter son nouveau maître. Il ne rugit plus et ses muscles se détendent. Je vais tenter avec l’annulaire. Je n’en ai pas le temps : Ondine se lève et, toujours en me tournant le dos, vient s’accroupir sur ma queue. Sa position ne doit pas être confortable, les pieds en appui sur le lit, genoux fléchis, jambes écartées. Mais j’ai une vision d’enfer sur ses fesses et ma queue qu’elle guide de la main pour la conduire dans sa fente. J’entre sans effort. Ou plutôt, elle s’embroche sans difficulté. Mais le meilleur reste à venir… Elle remonte et, sans hésiter, c’est vers son ...
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