1. De Papillon De Nuit à soumise (14)


    Datte: 26/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... ragoûtant. Je me suis fait fourrer la moule par mon coach sportif tout à l’heure, et comme je vois que tu es une petite gourmande, tu vas prendre un immense plaisir à me nettoyer, n’est ce pas ? me dit-elle sans m’en laisser le choix. Sa chatte avait un goût de sueur, de foutre et de sécrétions vaginales mélangés. Si j’avais été excitée, je l’aurais dégustée avec plaisir, mais pas là. Non, ce petit jeu ne m’amusait plus du tout, mais il fallait que je tienne bon. Ma langue goûtait cette chatte écœurante, s’agitait, mais je ne pus faire grand-chose ; mes mouvements étaient entravés, et l’orifice peu accessible. — Tu as de la chance : je ne me suis pas lavée depuis hier, enchaîna-t-elle, me maintenant la bouche plaquée contre sa chatte. Alors, tu te régales, hein ? Vous savez, cette putain de chinetoque a bu toute ma pisse hier ; je suis certaine qu’elle en veut encore. — Elle a vraiment tout bu ? s’étonna ma Maîtresse. — Jusqu’à la dernière goutte ! Et en plus, elle en redemandait, Chloé. Hein que t’en redemandais ? m’interrogea-t-elle. — Moi je lui ai simplement pissé dessus, mais je reconnais que ton idée est très séduisante, déclara ma Maîtresse. — Rien que d’en parler, les filles, j’en ai envie aussi, surtout que j’ai pas mal bu à midi, précisa Louna. — J’y vais la première, si vous voulez bien m’excuser... souffla Amanda. — Oui, vas-y, répondirent Louna et ma Maîtresse en chœur. Je vis alors sa tête se jeter en arrière en poussant un râle de satisfaction qui ...
    ... accompagna un jet d’urine au sévère parfum d’ammoniaque. Je n’allais pas pouvoir supporter une seconde salve, surtout si elles s’y mettent à trois, ce n’était pas possible. Je tentai de me débattre, mais mes bras furent vite immobilisés, certainement par Louna, et je fus condamnée à boire de nouveau ce liquide abject. Ne pouvant tout avaler, je tournai la tête pour recracher en suffoquant ; le liquide aspergea le canapé, les cuisses d’Amanda, ma robe et mon visage. Toutes trois entrèrent dans une colère folle ; je fus molestée sous un torrents d’insultes, et elles finirent par me mettre rapidement et complètement KO. Je me réveillai à l’hôpital, le corps affreusement douloureux. Ma Maîtresse me surveillait d’un air furieux. — T’es fière de toi ? À cause de toi, cela va me coûter une fortune pour faire nettoyer mon canapé ! Tu m’as profondément déçue. — Qu’est ce qui s’est passé ? Ça fait combien de temps que je suis ici ? demandai-je, la tête dans le brouillard. — Ça fait deux jours que t’es là. Je t’ai emmenée à l’hosto sous les conseils de Louna ; j’ai dit aux médecins que je t’avais trouvée à moitié consciente sur la route, et que ne sachant pas quoi faire je t’avais amenée ici. Je te conseille de t’en tenir à cette version, si on t’interroge. — Je suis navrée, Maîtresse Chloé, je ne... — La ferme ! me dit-elle doucement mais fermement. Tu vas savoir ce que c’est qu’être désolée, crois-moi ! Quand tu seras guérie, tu feras un petit séjour chez ma sœur qui t’apprendra les bonnes ...