1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 653)


    Datte: 26/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°652) - Humilié et souillé sur la plage - Après que les passagers du Croix-Rousse aient débarqué sur cette petite île qui semblait oubliée de toute présence humaine, les deux skippers firent encore deux allers et retours jusqu’au bateau à la plage pour récupérer tout ce que Madame Marie avait prévu pour le repas en mode pique-nique, mais aussi des transats et chaises longues pour les Dominants. Elle pesta, malgré tout contre elle-même car elle avait oublié de prendre une seule chose, la cage de chasteté de soumis Endymion MDE. - Ne t’inquiète pas Ma chère Marie, Mon chien sait désormais se tenir, nous pouvons lui faire confiance, et puis nous l’aurons à l’œil. Il est bien, par contre, que tu n’aies pas oublié mon short, dit avec une amitié certaine, le Marquis d’Evans à sa cuisinière. Madame la cuisinière et Madame Gabriella installèrent une grande nappe sur le sable puis dressèrent un succinct couvert, pendant que Monsieur Henri et Monsieur le Marquis discutaient ensemble les pieds dans l’eau. Les deux skippers quant à eux, s’occupèrent des deux slaves et les enchainèrent par leur sexe, à proximité l’un de l’autre au tronc de deux cocotiers. En effet, une chaine avait été enroulée et cadenassée autour des couilles et de la bite de soumis Endymion MDE alors que pour la femelle soumise Estelle, Etienne avait accroché au bout de la chaine, un mousqueton à ces piercings intimes. - Couchés les salopes et pas ...
    ... bouger ! avait lancé Etienne. Endymion MDE couché sur le côté et sur ce sable tel un véritable chien, s’interrogeait. Ni Madame Gabriella, ni Monsieur Henri, ne s’étaient occupés de lui. Pire même, ils n’avaient eu aucun regard, une moindre attention ou un simple geste, à son égard. Ils l’ignoraient complètement, totalement… Il se mit à gamberger à se dire qu’il n’était rien à leurs yeux, même pas un objet, même pas un slave, rien, le néant, il n’existait pas … il n’existait plus et cette sensation d’abandon totale le déprimait comme un animal abandonné… Cette humiliante idée cogitée et méditée, le secoua et l’ébranla, le blessant même quelque peu. Lui qui se donnait et se vouait entièrement et totalement au Maître, lui qui montrait ostensiblement sa parfaite soumission et son admirable obéissance, pourquoi eux ne s’intéressaient-ils pas à lui, même s’il n’était qu’un chien soumis minable et pitoyable... A bien y réfléchir, à trop y réfléchir, il sentit malgré tout, une petit frison le titiller. A vrai dire, cette situation humiliante l’excitait un tant soit peu. Sa queue s’était durcie, sans même qu’il s’en aperçoive, et elle doubla de volume, lorsque Monsieur Henri, s’approchant près de lui, sortit son sexe de son maillot de bain et lui pissa dessus, sans même le regarder ! Maximilien, beaucoup moins disert et éloquent qu’Etienne, était peut-être beaucoup plus vicieux que lui. C’est lui qui apporta aux deux esclaves une seule gamelle contenant leur repas. Avec précision, il la ...
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