1. Polly


    Datte: 26/12/2018, Catégories: fh, jeunes, couple, grossexe, bizarre, voiture, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation facial, Oral pénétratio, fsodo, policier, roadmovie,

    Alors elle s’est allumé une clope. Une Lucky. La dernière. Aucune importance, on la fumerait à deux. On en avait rudement besoin, histoire de récupérer un peu. Ses doigts tachèrent d’hémoglobine le filtre encore vierge, de ce sang étranger de flic qui avait éclaboussé sa poitrine, souillant son corps frêle de lolita vicieuse… Il faut dire qu’on n’était pas beaux à voir, tous les deux. Elle, tee-shirt rosePretty like drugs et culotte blanche maculés d’un sang poisseux jusqu’aux seins, et moi, torse nu avec un holster en guise de cravate. Avec ces conneries, c’est tout juste si j’avais eu le temps de passer mon futal. Et ça m’ennuyait beaucoup d’avoir laissé ma veste à cinq mille dollars là-bas. Bon sang, une Versace en plus… En attendant, je me trouvais à moitié à poil avec ma princesse, Polly, dans une berline cabossée et plombée jusqu’au delco, le tout sur une Nationale merdique, et pas moyen de penser à autre chose qu’à son cul. J’avais tellement envie de baiser que mon pantalon de toile suffisait à peine à contenir les ardeurs de ma chose. Une vraie trique d’enfer, un peu comme celle qu’on peut choper quand on passe devant les bordels mexicains tellement y a d’étalage… Elle me tendit la clope et je tirai une bouffée, le goût de ses lèvres dans ma bouche. Je vis ses yeux de vipère descendre rapidement d’un étage et un léger sourire se dessiner à la commissure de ses lèvres. — T’as envie ?— J’y comprends que dalle. C’est pourtant pas le moment, répondis-je… Ça doit être ...
    ... le sang dans tes cheveux, c’est ça qui m’excite, je crois.— Ben pour te dire, moi aussi j’ai vachement envie… Puis elle approcha ses lèvres fines à hauteur de mon oreille droite pour y glisser subrepticement sa langue. Ses doigts délicats effleurèrent le tatouage d’Eraserhead sur mon torse, puis glissèrent timidement le long de mes abdos attaqués par la Bud pour enfin disparaître dans le creux de mon pantalon. Cette garce savait s’y prendre avec les hommes. Dix-neuf ans à peine et totalement open aux expériences les plus poussées. « Du trash et des baisers », tel était son credo… Elle et moi ne cessions de forniquer depuis notre rencontre il y a un an. C’était à croire que la collision de nos libidos avait provoqué un tremblement de terre à l’intérieur de nos corps, et la sauter trois fois par jour ne suffisait pas à la satisfaire. Fort heureusement, j’étais moi-même dans ma pleine jeunesse, vingt-quatre printemps, et il m’était arrivé de l’enfiler jusqu’à sept fois dans la même journée. Elle était une source intarissable d’excitation, réalisant mes fantasmes les plus retors. Ses fantasmes étaient, paraît-il, de réaliser les miens. À cela s’ajoutait une beauté d’une perversité peu ordinaire. La taille haute, un cul ferme et galbé, de longues jambes de gazelle et de petits seins perpétuellement dressés, ce qui lui évitait de porter le traditionnel soutien-gorge dont rêvent les adolescentes. J’aimais la regarder, nue, son épaisse crinière de platine caressant ses fesses en une ...
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