Le club des nymphes - tome II (11)
Datte: 27/12/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... m’annonçant que je suis convoquée dans le bureau de monsieur Chauvin. Je m’y rends donc aussitôt à la pause. Je frappe à son bureau et entre lorsque sa voix me dit de le faire. Il me sourit lorsqu’il s’aperçoit que c’est moi. — Ah, Mademoiselle Leonne… s’extasie-t-il, j’ai quelque chose à vous remettre. Il sort de son tiroir trois culottes féminines. Visiblement, les filles ont toutes suivi ma recommandation. Je rougis en récupérant les morceaux de tissu. — Il semblerait que vous m’ayez fait une bonne publicité. Merci ! — Vous le méritez, Monsieur. Tout s’est bien passé ? — Merveilleusement bien. Vous pouvez considérer vos recrues comme de véritables nymphes. Par contre, vous m’avez mis dans l’embarras avec mes collègues, plaisante-t-il ; ils me jalousent tous, maintenant. Prête à partir, j’ai un moment d’hésitation. Je repense à mon épreuve passée avec ce prof, comment il avait été doux avec moi et comment il avait su tirer la meilleure partie de moi. Ma solitude me pèse aussi. J’ai besoin que quelqu’un prenne soin de moi. Mon ventre se tortille de l’intérieur. Je me retourne finalement vers mon ancien professeur. — Qu’y a-t-il ? Un problème ? — Non, Monsieur… c’est juste que je me demandais si vous ne voudriez pas que je couche une nouvelle fois avec vous. — Oh, j’apprécie votre proposition, ma douce, mais je dois décliner. Cela va sûrement vous paraître bizarre, mais au-delà des épreuves de nymphes où je m’accorde de petits écarts, je tiens à rester fidèle à ma femme. ...
... J’ai donc pour principe de ne jamais coucher une seconde fois avec une élève, même si pour vous – je l’avoue – je serais bien tenté de faire voler aux éclats mes résolutions. Je suis désolé. — D’accord, Monsieur, je comprends. Ce n’est pas grave, affirmé-je en reculant lentement vers la porte. — De plus, continue-t-il, je ne suis pas persuadé que vous ayez réellement envie de coucher avec moi. — Comment cela ? — Soyez honnête : voulez-vous vraiment de moi ou cherchez-vous une façon de vous consoler de votre rupture avec monsieur Dejoel ? — Comment êtes-vous au courant ? m’étonné-je. — J’ai entendu deux-trois bavardages, et certains de vos professeurs ont constaté que vous n’étiez plus l’un à côté de l’autre en cours. Je vous l’assure : coucher avec moi ne remplira pas le vide que vous ressentez. Ce n’est qu’une façon d’éviter le problème. Je vous sais plus forte que ça. Quoi qu’il en dise, je sais que si marraine avait été là, elle au moins m’aurait consolée et je me serais sentie mieux avec elle. D’un autre côté, il n’a pas vraiment tort ; si je lui ai demandé de coucher avec moi, c’était plus pour m’enlever Thomas de la tête que par réelle envie. En fait, je me surprends à être presque contente qu’il ait refusé mon offre. Je quitte le bureau de mon professeur préféré en le remerciant une dernière fois. Bon, la seconde épreuve validée, nous allons pouvoir fêter ça. *** La soirée est organisée deux jours plus tard, une nouvelle fois au cocotier. C’est vraiment pratique d’avoir ...