1. lettre de ma cochonne de maman (1)


    Datte: 27/12/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Bonjour. Je m’appelle Léo. Cet été, pour payer mes études, je suis parti travailler deux mois en Angleterre. C’est ma première longue séparation avec mes parents, notamment avec ma mère. Cette séparation est un peu dure pour elle. Voici la lettre que j’ai reçu de sa part la semaine dernière. Vous allez comprendre quelle grosse cochonne elle est.. Mais je l’adore ! Mon fils chéri, Je dois te le dire même si je te l’ai déjà dit cent fois: je t’aime et tu me manques. J’ai hâte que tu reviennes à la maison. Tu es le fils dont rêveraient toutes les mères: gentil, intelligent et très beau. Mais ce qui me manque le plus aujourd’hui, alors que tu es loin, c’est quelque chose que ma pudeur naturelle de maman ne m’empêchera pas de nommer : ton beau membre viril. Il n’ y a en effet pas beaucoup de mères qui oseront l’avouer, mais moi j’en suis fière : ta queue est splendide et elle me manque. Une belle queue de mec, de belle taille, épaisse, admirablement proportionnée. Superbe. Il y a quelques années de ça, lorsque je t’ai vu devenir un beaujeune homme et que j’ai vu cette si belle queue grandir, je ne me lassais pas de l’admirer à la moindre occasion. Je n’arrêtais pas de me dire avec fierté : "c’est moi qui ai fait ça !". C’est pour ça qu’à cette époque j’ai voulu continuer à prendre mes douches avec toi. Je prenais un grand plaisir à savonner longuement ton beau corps de jeune homme musclé, ta peau si douce, mais aussi et surtout ton bel engin, admirable, qui grossissait si bien ...
    ... entre mes doigts. Et même si tu étais un peu surpris de cette maman trop tactile, tu adorais ça toi aussi...La taille de tes érections en témoignait. Tu me laissais d’ailleurs volontiers jouer avec ton sexe, le manipuler autant que je voulais. Souvent, trop excité, tu me lâchais " ha maman, c’est trop bon ! Arrête ou tu vas me faire..." Tu n’avais même pas fini ta phrase que déjà tu te laissais aller dans mes mains. Tu avais un peuhonte mais je ne t’en voulais pas. Au contraire : tes belles éjaculations n’étaient que source de fierté pour moi. Plus ton sperme était abondant, plus j’etais ravie. Ceci dit, je ne me suis pas arrêtée là, car de mon coté, si je profitais de ta virilité, je voulais aussi te laisser découvrir ma féminité, sans rien te cacher. Alors, discrètement je t’ai laissé explorer mon corps de femme, toucher mes seins, mon sexe, examiner mavulve, jouer avec mon clitoris, explorer mon vagin avec tes doigts. Souvent aussi lorsque tu rentrais de l’école, l’après midi, tu étais impatient de me retrouver à la maison. Ton père était au boulot, il ne risquait pas de nous surprendre. Alors je t’attendais toute nue. Mes fesses étaient à toi et tu ne te privais pas de les caresser, fasciné. Tu passais aussi la main entre mes cuisses. Je voulais que tu aies à tout moment libre accès à mon intimité, pour que tu connaisses tout ça par coeur. Je me retrouvais alors livrée à toutes tes caresses. Tu étais curieux, habile de tes mains et tu as su rapidement trouver les gestes qui ...
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