1. Il fait lourd


    Datte: 27/12/2018, Catégories: ffh, vacances, init, strip, fsodo,

    Il fait lourd aujourd’hui. Moite. À se demander pourquoi ne pas rester mollement étendu dans son lit au lieu de s’éreinter dans des petits sentiers pour aller Dieu sait où et ensuite revenir… La vie au grand air, les vacances… Foutaises.« Merde ça monte, je me fumerais bien une petite cigarette arrivé en haut, mais pas avant j’ai déjà le souffle court. » — Quand c’est qu’on arrive ? J’espère qu’il y aura un bon troquet en haut, je dis, comme pour détendre l’atmosphère.— Tais-toi et marche, tu réponds. On rigole tous les trois. Arrivé en haut, on découvre l’horizon infini des collines abandonnées alentour, surplombées par des gros nuages tout noirs. Il fait tellement lourd que j’en viens à souhaiter la pluie. En général, on la redoute, mais là, suffocants de transpiration, la chaleur qui nous transforme en larves… Le soleil disparaît doucement derrière les nuages noirs. Tout s’assombrit d’un coup, nous sommes comme en pleine nuit. On s’assoit tous les trois. J’ai un joli short en jean troué datant d’au moins dix ans, et une chemisette rouge que tu m’as offerte. Toi, toujours aussi belle, avec un short et un tee-shirt. Et elle, en short en jean long à franges, et un débardeur blanc. Discrètement, je lui jette un coup d’œil pendant qu’elle finit goulûment la gourde. Je distingue vaguement l’aréole de ses seins, très large, sous l’étoffe. Elle se cambre en arrière pour avaler la dernière goutte et on distingue assez nettement la forme de ses seins, assez petits, fermes, juste ...
    ... comme je les aime. Je me tourne vers toi, tu la regardes aussi, tu vois que je t’ai surprise, on commence à rigoler. — Qu’est-ce que vous avez tous les deux à vous marrer comme des vaches ? Vous vous foutez de ma gueule ou quoi ? elle dit en souriant.— Je suis épuisée,que calor ma parole, je plongerais bien nue dans l’océan, elle ajoute.— Plus que 100 km et on y est, rétorqué-je.— J’ai reçu une goutte ! Nous nous tournons tous les trois vers le ciel, noir. Et là c’est le déluge instantané, comme on n’en avait pas vu depuis Noé. Nous nous levons tous précipitamment, et allons trouver refuge sous une grosse pierre. Enfin pas tous. Elle est restée sous la pluie, les bras tournés vers le ciel comme sous une douche. L’eau lui dégouline de partout, elle est resplendissante, son débardeur lui colle au corps et on voit ses seins, les aréoles bien dures, tendues vers l’eau. Tu te précipites alors dehors et tu te mets à danser, comme une gosse, libre et joyeuse sous la douche. Je sors moi aussi et je profite de la caresse du ciel. Je me passe la main dans les cheveux, c’est bon, c’est comme arracher la fatigue. Je te regarde, tu t’es mise à danser avec elle. Vous vous tenez par les mains et vous tournoyez sous l’orage, ivres de rires, exaltées. Je devine tes seins sous ton tee-shirt, je les adore tes petits seins sensibles et cette vision m’excite. Je sens que je deviens dur, mon sexe est rigide comme un bâton. Alors je viens vers vous et en riant j’arrache ma chemise, je défais les ...
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