L’Odyssée de la Belle Hélène – Les Hiérodules -
Datte: 27/12/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... d’une beauté extrême. Elle prenait visiblement un plaisir immense à se faire baiser ainsi par le Dieu de la Beauté Masculine au membre impressionnant. Hélène ne put s’empêcher d’approcher pour voir de plus près cet accouplement Divin d’une copulation au rythme régulier et toujours aussi lent. Elle était profondément dans un état d’excitation telle une véritable chienne en chaleurs, qu’elle commençait déjà à masturber son sexe tout en observant attentivement la belle copulation Divine qui s’offrait à son regard gourmand. Elle aurait voulu participer, comme par exemple venir lécher les grosses couilles d’Apollon qui lui faisaient tant envie tandis que le Dieu baisait la belle, la très belle Déesse Aphrodite … Mais le couple des Divinités semblait l’ignorer, comme si Hélène et tout ce qui l’entourait, n’étaient pas présents autour de l’environnement des divins Fornicateurs. Alors Hélène, en se caressant, évoluait doucement autour de ce nuage de coton qui leur servait de couche ‘nuptiale’. La troyenne compris alors très vite que ce qu’elle voyait n’était peut-être pas réel, mais juste une image, une vision, comme une émission en ‘direct’ venant directement de l’Olympe ou d’un autre lieu Divin. Hélène mouillait tellement que, n’y tenant plus au bout d’un moment, tenta d’approcher sa main sur les fesses magnifiques d’Apollon juste pour les caresser et dès ce contact tactile sur la divine peau, elle sentit comme un fluide doucereux lui traverser tout le corps. Hélène était ...
... transportée, de fait, dans un autre monde empli de sensations d’extases. La main collée aux fesses divines, la Troyenne se mit à trembler de tout son être mais pas un tremblement de crispation, non au contraire, un doucereux et délicieux tremblement de bien-être, ressentant une sorte de douces décharges jouissives remontant sur toute son échine. Elle comprit alors que tout son corps, toutes ses cellules de son organisme étaient en train de jouir dans un état continu sans excès, une jouissance non explosive mai plutôt lente et permanente, ininterrompue, qu’elle était entrée en osmose parfaite avec les deux Divinités, qu’elle communiquait directement avec Elles, qu’elle ressentait en réalité à ce qu’Apollon et Aphrodite ressentaient au même moment… Et puis tout d’un coup, comme emportée dans ce tourbillon de béatitude, de plénitude excitante, et alors que sa cyprine coulait le long de ses cuisses, tout se mit à tournoyer autour d’elle. Hélène fut comme happée, elle sentit que ses pieds ne touchaient plus terre … Ce tournis s’amplifia et elle ne contrôlait plus son corps. Plus ça tournait vite, plus sa jouissance, jusque-là régulière, montait en puissance. L’accélération de ce tournoiement faisait monter son degré de plaisirs jouissifs, jusqu’au moment où le flou se fit autour d’elle. Hélène n’aperçut plus que le coton moelleux du nuage, les deux Divinités avaient disparues, mais si le sens de la vue fut réduit à ce nuage, le sens du toucher restait fort et même s’accentuait car elle ...