1. Chromosome Z (2)


    Datte: 27/12/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Lorsque ma mère revint, il était environ 17h. J’avais quitté mon bain depuis un bon moment et j’avais vérifié ma température qui était descendue à 38.5 degrés. Toujours inquiète, ma mère voulu faire le prélèvement de sperme immédiatement pour l’amener au labo avant sa fermeture. J’acceptai, bien sûr, mais ma mère précisa que l’on devait juste provoquer une éjaculation et s’arrêter après. Nous allâmes dans la salle de bain, où je baissa mon pantalon et évidement j’étais déjà en érection. En voyant mon engin, ma mère déglutie et devint fébrile. Elle attrapa mon pénis d’une main pendant qu’elle tenait le récipient dans l’autre et commença un agréable va et vient. Elle fit cela pendant une vingtaine de minutes mais toujours aucune éjaculation. Pour ma défense, c’était bon mais j’avais goûté à mieux. Elle demanda si l’éjaculation était proche et je lui répondit par la négative. Elle tourna le regard vers moi en rougissant et me dit « une pipe, c’est tout ». L’instant d’après, je retrouvai cette formidable cette sensation que je recherchai. Je sentais sa langue ramper sur ma hampe, ses douces lèvres caressait l’objet de ses désirs, sa bouche pompant comme une sangsue pour obtenir ce liquide dont elle rêvait. Avec autant de délicatesse et de passion, ce qui devait arriver, arriva. Elle reçue une énorme giclée dans la bouche, elle l’avala et pointa ma bite en direction du récipient, qui reçu lui aussi une bonne giclée, mais les autres n’ont pas échapper à ma mère, qui les avala ...
    ... sans en laisser une goutte. Elle se releva, se changea et repartie au labo sans un mot. Cependant, je compris, pourquoi elle n’avait rien dit, en regardant par terre. Une flaque d’eau maculait le sol. Une flaque d’eau ? Non ! Cette odeur, je la connaissais. Ma mère avait jouit et si elle n’avait rien dit, c’est parce qu’elle savait que si elle s’était écouté, l’échantillon n’aurait atteint le labo que le lendemain. De retour de sa petite virée au labo, elle prépara à manger après vérification de ma température, 38.4. Un peu après le début du repas, elle engagea la conversation en me disant qu’elle avait aimé ce que l’on avait fait le matin, que jamais elle n’avait jouit comme ça, que mon sexe était le plus gros qu’elle ait reçue. Et je fus surpris par ses deux dernières déclarations, car je n’y avait pas fait attention dans le feu de l’action, mais selon elle, mon gland frapper violemment le fond de son utérus à chaque fois. De plus, elle m’indiqua que notre médecin était au courant que l’on avait eu des rapports sexuels, qu’il n’y avait pas de risques car il était tenu au secret professionnel, qu’il fallait qu’elle lui en parle à cause des nombreuses éjaculations qu’elle avait reçue afin de savoir s’il y avait un risque de grossesse. Un peu stressé par la réponse qu’elle allait donné, je lui demanda ce qu’il en était. Elle me dit qu’il faudrait voir un gynécologue et que, selon lui, puisqu’elle a toujours ses règles, même si elle sont irrégulières c’est qu’elle est toujours ...
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