1. Deuxième visite chez l'avocat


    Datte: 28/12/2018, Catégories: fh, fhh, Collègues / Travail fépilée, fsoumise, hdomine, Oral préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, ecriv_f,

    ... viens à sa rencontre. Il enfile un préservatif qu’il a sorti de sa poche. Pendant ces quelques secondes mon excitation retombe un peu. C’est alors qu’il s’enfonce en moi sans crier gare, jusqu’à la garde. Il a posé ses doigts sur ma bouche pour étouffer mon cri qu’il a senti venir, ses doigts sentent ma chatte et sont tout mouillés. Mais moi je n’ai encore rien vu. Il me besogne pendant quelques minutes, tantôt lentement, tantôt vite. J’ondule, j’accompagne ses poussées, je gémis sous ses assauts. J’adore ! Je sens la jouissance monter. Ses deux mains sont toujours actives, il me caresse le clitoris, le cul, les seins. Je suis en chaleur, ses caresses me brûlent presque. Je suis une zone érogène à moi toute seule, entière. Mais mon sang se glace quand j’entends sa voix. — Tu sais qu’on se fait toujours enculer par les avocats ? Je me raidis. Il le sent. — Laisse–toi faire, me dit-il, tu vas aimer ça petite salope. Il enfile son doigt dans mon cul, y rentre comme dans du beurre. Son mouvement de va et viens me fait du bien. J’ai des petits frissons d’excitation… Alors il tente un deuxième doigt, puis un troisième. Quand il fait mine de les retirer, mon cul va à leur rencontre. Il me dit « tu vois que tu es une chaude du cul aussi ! » Il sort ses doigts et pose le bout de sa queue contre le trou de mon cul : il frotte doucement et petit à petit le passage se fait, en douceur. Pas de doute, il sait y faire… Et voilà sa queue qui est engloutie par mon cul pour une belle sodomie… ...
    ... Il est très excité. Je sens sa verge gonflée, il ne tiendra pas longtemps. En effet, il me chuchote « ça vient, je vais te repeindre le cul, ma belle. » Ce qui fut dit fut fait. Il décharge. Au bout de quelques instants il se retire. Il ôte la capote, et me demande de lui lécher la bite pour bien la nettoyer. Je me baisse et m’exécute. Je n’ai pas eu le temps de me rhabiller. Je suis à 4 pattes par terre, dos à la porte, le cul luisant à l’air. J’ai son sexe en bouche, encore vigoureux, je le lape. Mais mes poils se hérissent quand j’entends la porte du couloir grincer. Il m’attrape les cheveux et me dis : « continue ! » Je me fais humble et soumise et la perversité de la situation me séduit. Les pas se rapprochent et s’immobilisent. « Ma cliente vient de régler une partie de ses honoraires » dit-il au visiteur, qui est peut-être une visiteuse ? J’ai le nez dans son pubis et je ne vois rien. Je veux m’arrêter, mais encore il m’ordonne « continue ! » Et à l’intention de l’autre : « sers-toi, je crois que tu m’as donné un coup de main sur ce dossier. Tu peux prendre ta part. » Je sens des mains froides, inconnues qui se posent sur mes fesses. L’inconnu n’a toujours pas prononcé une parole qui me permette d’identifier son genre ou son âge. Les doigts qui me rentrent dans la chatte sont épais, mais ça ne veut rien dire. Je ne peux retenir un gémissement. Et mon avocat rebande doucement dans ma bouche. Il fouille dans sa poche et lui tend une capote emballée. J’en déduis que les ...