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Les Normands - Épisode III
Datte: 28/12/2018, Catégories: fh, ff, hh, 2couples, fbi, hbi, hplusag, fplusag, frousses, Oral fdanus, fsodo, hdanus, hgode, hsodo, entrecoup,
... vidé en moi. La gourmande s’allonge même sur le tapis en me demandant de m’accroupir au-dessus de sa tête. Marc écarte mes fesses à leur maximum de ses paluches pour que les liquides s’écoulent plus rapidement. — Je ne te savais pas aussi cochonne, dit-il en la prenant dans ses bras pour l’embrasser à pleine bouche.— Une bonne douche s’impose, conclut Brigitte qui me prend par la main direction la salle de bain. Il faut que nous en finissions, rajoute-t-elle la porte fermée, sinon nous ne serons que deux êtres uniquement tenus par la débauche. Elle n’a pas tort, et quand je lui demande si elle a apprécié la soirée, sa réponse est un des meilleurs baisers qu’elle ne m’ait jamais donné. Au tour du couple coquin de passer sous l’eau bienfaitrice. Nous nous habillons pour sortir et c’est ce que nous proposons à nos invités. Ils sont ravis de terminer la soirée devant un verre dans un bar cosy et classe d’Avignon. Nous débarrassons rapidement mais sans trop faire d’effort pour nettoyer, pourtant ce soir il faudra dormir sur le canapé-lit, au milieu du capharnaüm odorant. Je conduis le petit monde dans la voiture de Brigitte, je ne devrais pas mais comme nous avons tous un peu exagéré je me suis dévoué pour perdre quelques points. Le débit de boisson porte bien son nom et nous descendrons encore quelques cocktails. Je suis bien fatigué lorsque j’en sors et je préfère laisser le volant en demandant de ne pas rouler trop vite car le trop-plein me fait craindre de tapisser les ...
... sièges. oooOOOooo Je me réveille avec la tête en vrac ce matin, nous avons vraiment dû exagérer sur l’alcool me dis-je en passant une main sur ma tête. J’ouvre lentement les yeux et j’entends dire : « Il est réveillé Brigitte ! ». Je ne comprends pas pourquoi je me retrouve dans cette petite chambre aux murs blancs avec des tuyaux branchés sur la carcasse. La dénommée Brigitte arrive, une grande asperge d’environ cinquante ans m’ausculte rapidement et me dit qu’elle est heureuse de voir que je me suis réveillé. Décidément, je suis complètement paumé : où est ma bombe rousse ? Où est mon couple dépravé ? Lorsque les vapeurs se dissipent, je me vois dans une chambre d’hôpital. Mon premier réflexe est de demander pourquoi je suis ici. J’ai peur que la soirée de la veille n’ait tourné au vinaigre et j’assaille les infirmières de questions au sujet de mes amis qui se trouvaient dans la voiture. Les deux femmes, incrédules, essaient de me calmer, me disent que mon état n’est pas très grave, que j’ai eu une lourde opération à une jambe et que personne d’autre n’a été blessé. Je suis soulagé qu’ils n’aient rien et demande à les voir. Nouvelle interrogations dans le regard des deux infirmières. Mon esprit commence à comprendre ma méprise. La réalité me rattrape, je me rappelle la pluie, la sortie d’autoroute de Toulouse, le virage mal négocié alors qu’une file de voitures est stoppée sur la voie. Une belle glissade suit mon freinage appuyé sur la route détrempée. Je m’encastre sous le ...