Les confidences de Caro
Datte: 28/12/2018,
Catégories:
f,
fh,
froid,
parking,
voiture,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
... de Bernard. Trop content, il me cède la place, et m’invite à poursuivre, le membre palpite dans ma paume, il est gros, dur, chaud, vivant… Avant longtemps, je prouve mon savoir-faire, et ainsi qu’il est souvent dans le monde du travail en pareil cas, j’entends briguer la validation de mon contrat. Nous n’avons pas encore négocié mon salaire, mais il va de soi que cela ne pourrait pas être moins que son silence. À la réflexion, j’ai moi-même des arguments, mon propre silence vaut bien le sien, sinon gare à Muriel. Une sacrée cachottière celle-là ! Elle ne m’avait pas dit que son mec était si richement doté. J’imagine qu’il faut chercher dans ma nature bâtarde, vicieuse et perverse, les raisons qui font que des pensées aussi glauques, aussi prosaïques, aussi mercantiles, polluent ma relation transcendantale sanctifiée par les astres et le Très-Haut. Une telle irrévérence mérite naturellement punition, le Très-Haut veille, Bernard en est le bourreau. — Enlève ta jupe ! ordonne-t-il Je m’exécute, docile. Juste un bouton. J’ai le souci de la plier, avant de la ranger, bien calée derrière le volant. Ce faisant, je suis à deux doigts de recevoir la fessée, le bourreau est cependant indulgent, la tape est modeste. J’ai à peine repris ma place que l’ordre suivant fuse. — Suce-moi ! J’obtempère à nouveau, totalement soumise, je reprends le membre en main, et approche mes lèvres du gland, et commence à le gober, j’en ai plein la bouche. Quoi qu’il en soit, je suis une artiste en la ...
... matière, ceux qui ont eu à connaître ont tous chanté mes louanges. Ils sont nombreux, un sacré cœur qu’ils feraient si je les réunissais. Pendant que j’œuvre, Bernard caresse mes fesses, et explore ma raie culière. — J’adore ton cul, tu n’imagines pas le nombre de fois que j’ai fantasmé dessus. Il me revient le souvenir de soirées où il m’avait invitée à danser. Je me remémore les paluches s’égarant plus qu’il n’était séant, je l’avais remis à sa place. À l’époque mes fesses étaient habillées, pour le cas elles ont nues, et je n’interviens pas, il s’en donne à cœur joie autant que le lui permettent nos positions respectives. Il finit par entrer un doigt dans mon anus, son index ou le majeur, je présume. C’est idiot, mais ce doigt qui explore mon fondement focalise mon attention, plus que la queue que je tète et manipule consciencieusement. — Arrête, ça suffit, je veux garder mes forces pour te prendre. L’injonction me surprend, alors que je sens le jus monter, et que je me demande si je vais le recevoir en bouche. Bernard baisse le dossier de nos sièges, le sien et le mien, puis il m’invite à prendre une position confortable. Il se déshabille, puis me rejoins. Il est à mon côté, je m’offre à ses caresses et lui donne mes lèvres. Notre baiser est passionné, sa langue est puissante, je cède le terrain et le laisse envahir mon palais. Je me venge sur sa queue que je tiens bien en main. Je n’ai pas d’impatience, mais je serais néanmoins frustrée si pour une raison ou pour une autre ...