Le Congrès - Partie 02
Datte: 28/12/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... je me déshabille sans un mot, la porte s'ouvre et une jeune de femme d'environs trente ans, brune, fine, habillée en jupe droite, chemisier, talons aiguilles entre. Elle vient à côté de moi. Que fait elle là? Je n'ai imaginé aucun scénario en dehors du directeur et de moi-même! Je n'aurai jamais pu penser une chose pareille. -Léa! Voilà la grosse truie! Elle me fixe, je la sens hautaine, méprisante à mon égard. "Mains sur la tête!" dit-il sèchement car je viens de masquer ma nudité avec mes mains. Je suis très gênée devant cette femme. Le sourire sadique de Léa m'effraie un peu. -Pour être grosse! C'est une grosse vache en effet! dit-elle en me regardant de bas en haut Je suis maintenant glacée de honte et de peur. Je me dis que je fais un cauchemar. Cette femme va provoquer une accélération dans ma déchéance. Elle regarde mes mamelles, elle les malaxe puis elle les soulève haut pour les laisser retomber toutes seules ce qui me fait grimacer. Je ne dis rien humiliée. Elle regarde mon tourmenteur, comment avez-vous pu trouver ses trous? dit-elle avec ironie. -Je parie qu'elle mouille cette pute! Ecarte les lèvres de ta chatte de grosse salope et montre-moi! ajoute-t-elle sèchement. Elle regarde ma fente ouverte et dégoulinante. C'est vrai, l'humiliation et la douleur provoquent chez moi une excitation que je ne contrôle pas. Je me liquéfie sous la menace et la peur. Ma tête et mon corps se dissocient. Ma tête refuse mais mon corps trahit mon plaisir. -On a trouvé une sacrée ...
... pute! Elle passe derrière moi pour venir voir mon cul qu'elle pelote et écarte mes fesses. -Hier encore, elle était encore vierge de là! Elle m'ordonne de me pencher en avant, ce que je fais sans protester. Cette femme est plus sadique et dangereuse encore que le directeur. -J'aimerais bien lui déchirer son cul à cette grognasse, dit-elle, tout en touchant ma rondelle encore serrée. -Tu auras tout le temps de lui casser le cul à cette pute! Pour le moment tu vas regrouper toutes ces affaires dans sa valise. Elle laisse mon cul et Monsieur Moreau m'ordonne de reprendre la position de soumise, mains sur la tête, cuisses écartées. Je m'exécute car je ne sais pas ce que je pourrais faire pour me soustraire à son autorité. L'absurdité de mon dérapage m'apparait comme une évidence maintenant. Je comprends que je suis tombée dans un piège. Je n'ai rien soupçonné de ce guet-apens. Je me sens si honteuse et si coupable de ma naïveté. Immobile et impuissante, je regarde Léa remplir ma valise. Inquiète, je n'ose pas demander ce qu'elle va en faire. Elle regroupe mes habits, à chaque fois qu'elle en prend, elle a un air de dégout, strings, culottes et soutiens gorges beaucoup trop grand pour elle. Il ne reste plus rien dans mon armoire, je ne comprends pas ce qui se passe. Je vis un cauchemar. -Laisse-lui juste sa brosse à dents à cette truie! Elle enlève tout. Ma chambre est vide. -Elle n'a plus besoin de ses pilules ni du reste! dit-il en me fixant. -Et dans son sac à mains qu'y va-t-il? ...