1. Masturbation malsaine (4)


    Datte: 29/12/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... "demi-frère" pendant qu’il dort ? Un homme ne pouvait-il pas rêver mieux que de se réveiller avec une femme en train de lui caresser la verge ? Il me fallait être discrète car cette fois-ci, nos parents respectifs étaient dans la maison. Endormis certes, mais présents. Je me rendis alors dans le plus grand des silences dans la chambre de ma "proie" et ferma la porte. Seulement vêtue d’une culotte et d’un soutien-gorge, je les retirais et les posais par terre. Mon "frère" dormait à poings fermés tandis que je retirais délicatement sa couverture. Par le plus heureux des hasards, il ne portait aucun sous-vêtement pour dormir. Je saisis alors son sexe et commençais à le frotter de bas en haut. Mon frère ouvrit les yeux et se redressa lentement. Quand nos regards se croisèrent, je lui souris. Il me rendit ce sourire et tendit une main jusqu’à ma poitrine pour agripper l’un de mes seins. Il le pressa dans tous les sens pour m’exciter pendant que je le masturbais. Il relâcha son emprise et passa ses doigts dans mes cheveux. La scène était très érotique. Puis, soudain, je sentis la paume de sa main exercer une pression sur le haut de mon crâne. Mon visage se rapprocha alors de son urètre. Je compris rapidement qu’il souhaitait que je pratique sur lui une fellation. Cette idée ne m’aurait d’ordinaire guère enthousiasmée mais là... au milieu de la nuit... alors que le temps semblait figé... ...
    ... J’ai commencé à donner des petits coups de langue sur son gland. Puis, petit à peu, j’entrepris délibérément de le lécher. Mon "frère" poussait de petits gémissements, il aimait ça. — Oh oui, continue... Murmura-t-il dans un soupir. fkufllm Puis, ma bouche enveloppa complètement son gland, à tel point que celui-ci ne fut plus visible. Il était dur pour moi de me l’avouer mais... j’aimais ça. Là aussi, j’effectuais des mouvements de bas en haut pour accentuer le plaisir. Pendant plusieurs minutes, je pompais mon "demi-frère" comme la dernière des putains. Je m’en fichais jusqu’au moment où il laissa s’échapper un : — Je vais jouir... J’étais prise de court. Que devais-je faire ? Me retirer et le laisser éjaculer dans ses draps ? Tout avaler ? Finalement, il prit lui-même l’initiative de dégager mes lèvres de son gland en m’agrippant les cheveux et se positionna à genoux devant moi, le sexe tendu au bord de l’explosion. Je comprenais ce qu’il voulait faire : une faciale. En quelques secondes, d’épais jets de sperme déferlèrent sur mon message, certains entrant dans ma bouche ouverte. Sa semence tiède coulait tout le long de mon visage jusqu’à ma poitrine. J’en trouvais même dans mes cheveux. Je ne ressemblais ni plus ni moins qu’à une prostituée, souillée du sperme de mon "frère"... mais j’avais adoré. Au point d’avaler les quelques millilitres de foutre qui étaient entrés dans ma bouche... 
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