1. Le string mène à tout...


    Datte: 29/12/2018, Catégories: hh, médical, Oral init,

    ... frémir et je sentais mon sexe dressé à son maximum sous mon string, le gland prêt à jaillir sous l’élastique. — Vous faites du sport ? J’ouvris les yeux, retombant sur Terre. — Oui, du running. Pourquoi ?— Votre dernier électrocardiogramme date de quand ?— Plusieurs mois.— Bien. Je devrais vous en faire un, mais je crains que la pilosité de votre torse ne gêne, dit-il avec un beau sourire. Je ris, un peu gêné, prenant conscience que cette remarque n’avait rien d’esthétique mais juste pratique. — Je n’ai rien pour vous raser ici, et en plus je ne suis pas doué, poursuivit-il. Je souris d’un air entendu. — Vous pouvez vous rhabiller, dit-il avec son beau sourire. Je m’exécutai sous son regard qui d’un coup perdit un peu son air professionnel, et je me sentis maté, ce qui me plut, à ma grande surprise. Ce qui ne fit pas mollir mon érection que je « rangeais » avec quelque difficulté dans mon pantalon. Assis face au médecin, j’écoutais les conclusions de son examen et ses recommandations. — Vous êtes en forme, dit-il avec un grand sourire. Je rougis un peu en imaginant un instant qu’il faisait référence à mon sexe dressé lors de l’examen. — Merci.— J’aimerais juste que vous réalisiez un bilan sanguin et que vous preniez rendez-vous à mon cabinet pour un ECG en essayant de vous raser un peu le torse pour que les électrodes tiennent bien.— Jouable, je pense, lui répondis-je.— Parfait. Voilà ma carte. Prenez rendez-vous dès que vous le souhaitez, en précisant que c’est pour un ECG. ...
    ... La secrétaire nous bloquera un peu de temps, ajouta-t-il avec un sourire que j’interprétai peut-être à tort comme charmeur. Je pris congé avec une nouvelle poignée de mains et tentai de prendre un air naturel en quittant l’infirmerie. Pourtant, une multitude d’images érotiques me traversaient l’esprit, et pour la première fois de ma vie l’idée de me laisser caresser par un homme prenait forme dans ma galerie de fantasmes. Je ne regagnai pas de suite mon bureau, faisant un détour par les toilettes du dernier étage où je ne connaissais personne pour m’engouffrer rapidement dans la cabine du fond. À peine entré, je me déboutonnai fébrilement, retrouvant avec plaisir mon sexe dressé que je libérai du tissu ; le gland turgescent attira ma main et je commençai de lents mouvements de va-et-vient autour de ma hampe. Mais le désir refoulé était trop fort et ne pus me retenir longtemps, éjaculant de longs jets crémeux, masquant mes gémissements de ma main libre. Tel un ado inexpérimenté, je n’avais pu prolonger mes caresses autant que je l’aurais voulu. Je pris quelques minutes pour revenir sur Terre après une telle jouissance ; et après avoir nettoyé mon sexe débandé, je pus enfin reprendre le cours normal de mon travail, avec difficulté tout de même. Je ne dis évidemment rien de tout cela à ma femme, précisant juste que je me raserais le torse pour un prochain ECG. Elle sourit et me proposa de prendre rendez-vous chez son esthéticienne. Je refusai, préférant me raser plutôt que subir ...
«1...345...8»