1. Triple A


    Datte: 29/12/2018, Catégories: Première fois

    ... sentais mon sphincter s’ouvrir pratiquement sans douleur. Elle reprit sa progression tout en accompagnant sa poussée de rotation du poignet. Cela dura suffisamment longtemps pour que j’en oublie même la gêne, mais je ne pouvais m’empêcher de penser que chaque minute qui passait me rapprochait du moment où j’allais recevoir le rosebud. Adriana s’empara du jouet et l’enduisit de gel puis elle vint se placer derrière moi juste au-dessus de mes fesses. Je sentais les doigts ressortir doucement et au moment où ils sont totalement sortis, avant même que je me referme complètement, j’ai senti l’arrivée de l’intrus. Elle poussait inexorablement vers mes entrailles, et j’ai lâché un : - Hummm ! - Ça va ? - Oui, continue ! Sous l’effet de la poussée mes chairs se distendaient puis d’un seul coup il a été comme aspiré. J’ai perçu un rond de fraicheur sur mon anus. - Voilà ma belle, tu es parée ! Je me suis relevée et en tournant le dos au miroir je me suis penchée en avant pour voir à quoi ressemblait mon petit trou. - Mettez-vous à côté de moi que je vois à quoi on ressemble avec ces trucs dans les fesses. Adriana courut dans la chambre pour revenir avec son appareil photo. - Immortalisons cet instant. En nous voyant dans la glace on est parties d’un fou rire comme on en a souvent ensemble. On en avait les larmes aux yeux. J’ai fait les quelques pas indispensables pour rejoindre la chambre sans gêne particulière si ce n’est qu’il a bougé un tout petit peu. Andréa proposa d’aller ...
    ... faire un peu de shopping à Nîmes. Nous nous sommes pomponnées. Maquillage léger des yeux, chaleur oblige, un peu de rouge sur les lèvres, rien de plus. Nous étions devant la glace de la salle de bains quand Andréa imposa la tenue vestimentaire. - Robe pour tout le monde ! - Je n’en ai pas ici ! - Moi non plus ! - Ne vous en faites pas, j’ai ce qu’il vous faut. J’ai acheté des petites merveilles sur le marché la semaine dernière. Elle nous entraina dans son dressing et nous montra des petites robes sans manches avec un lien à nouer dans la nuque. - J’ai craqué quand je les ai vues et en plus j’ai fait une affaire, car j’ai eu la troisième gratis. Je garde celle-là pour moi, débrouillez-vous avec les autres. Andréa enfila sa robe avec promptitude. C’est vrai qu’elle était craquante, fluide, avec un joli tombé, des motifs colorés ravissants, un décolleté en «V» découvrant à peine le sillon mammaire et le galbe des seins, dos nu. Le bas se terminait par une bande noire unie, plus étroite, qui resserrait un peu le bas sur les cuisses. Assez courte elle s’arrêtait à mi-cuisse. Nous avons enfilé les nôtres. Andréa ne put s’empêcher de faire remarquer : - Alycia tu vas être obligée de faire une entorse à tes principes, car le sous-tif est prohibé avec cette robe. - C’est bien pour te faire plaisir ! - Et tant qu’à faire, cul nu aussi ! - Mais je n’oserai jamais ! Je n’ai jamais fait ça ! - Nous si ! Tu verras comme c’est délicieux de sentir les courants d’air venir lécher ta chatte. Ne ...